Avec les 6 nouveaux modèles résolument minimalistes, il n’a jamais été aussi facile de posséder une montre Frédérique Constant, dont la philosophie du luxe accessible se concrétise dans chaque création.
De quel partenaire plus symbolique que la compagnie aérienne nationale SWISS Breitling pouvait-il rêver ? Les valeurs communes au transporteur aérien et à l’horloger tiennent en trois mots, aviation, précision et qualité, le tout estampillé du label suisse. Scellé en 2016 à l’occasion de la mise en service d’un Boeing 777 par la compagnie aérienne helvétique, le partenariat sacrait l’horloger « garde-temps officiel à bord de chacun des vols de Swiss ». Il se concrétisait par la présence de Breitling sur les écrans des sièges des passagers et, avantage non négligeable pour eux, la réalisation d’une montre Breitling Navitimer SWISSBoeing 777, éditée à 777 exemplaires et exclusivement en vente à bord des avions de SWISS.
La Defy Classic représente la vision néo-futuriste de Zenith. Dans la Defy Classic Black Ceramic, les caractéristiques du modèle sont exhaussées par les nuances de noir et l’impression de volume qui se dégage des formes équilibrées de l’architecture visionnaire — à l’intérieur comme à l’extérieur. Composé de céramique à base d’oxyde de zirconium quasi inaltérable, le boîtier de 41 mm de diamètre alterne les facettes polies et satinées pour mettre en valeur les lignes géométriques contemporaines, dessinées d’après la Defy originale des années 1970. La silhouette anguleuse est adoucie par la lunette circulaire qui surmonte le boîtier.
Dotée d'une alarme, d'un second fuseau horaire et d'un guichet à date, cette nouvelle montre à complications se décline en trois matières... Dotée d'une alarme, d'un second fuseau...
Alors qu’un site comme Chrono24 affichait l’année dernière un volume de transactions qui, pour la première fois, dépassait le milliard d’euros, il est capital aujourd’hui de bien connaître sa montre avant de l’acheter sur internet. Il s’agit non seulement de cerner avec précision le modèle exact que l’on recherche, mais encore de se prémunir de l’achat de contrefaçons.
Les Cabinotiers de Vacheron Constantin sont des pièces uniques et sur-mesure relevant des défis techniques, esthétiques et artistiques. Combinant l'expertise horlogère des grandes complications et les Métiers d’Art, elles mettent en oeuvre les talents et les passions des ingénieurs, designers, maîtres horlogers et artisans de la Manufacture et de son département Les Cabinotiers.
Swatch Group maîtrise à l’interne tout le processus de transformation de l’or. Sa propre fonderie, qui vient d’être certifiée Responsible Jewellery Council (RJC) Code of Practices (COP), est désormais en mesure de gérer tous les besoins en or au sein du Groupe. Swatch Group franchit ainsi une nouvelle étape dans la traçabilité.
Cet automne, Alpina a dévoilé sa série Shadow. Celle-ci comprend des modèles Alpiner 4 et Startimer Pilot Automatic, ainsi qu’un modèle Startimer Pilot Big Date avec un mouvement à quartz, tous équipés du bracelet intelligent « E-strap » d’Alpina. Comme il est ici question de montres de sport, mon choix s’est porté sur un chronographe avec une grande date, arborant un boîtier en PVD noir, un cadran noir et des index des heures de couleurs grise (il existe également une version avec des index brun foncé, montée sur un bracelet brun foncé). Nulle autre montre présentant un cadran et un mouvement traditionnels n’est proposée avec un bracelet intelligent comportant des fonctions de suivi d’activité, surveillance du sommeil et coaching dynamique. Une montre de tous les jours idéale pour les hommes actifs.
Citizen décide de reconquérir le marché français, quels sont les atouts de cette marque japonaise en France ?
Les atouts de cette marque en France sont nombreux. Tout d’abord sa notoriété spontanée ; lorsque l’on cite Citizen, tout le monde connait ou en a déjà entendu parler, cela facilite la réintroduction de la marque sur le marché français et favorise le sell-out (ndlr : les ventes en magasin auprès des acheteurs finaux. Le sell-in étant les ventes des marques horlogères aux détaillants).
Ensuite, il y a son excellent rapport qualité/prix, Citizen est l’une des marques les mieux placées en terme de rapport qualité/prix sur son segment. Or, de nos jours, on le sait, les consommateurs français sont de plus en plus en recherche de produits à forte qualité perçue face à un prix très attractif. Ça tombe bien, car c’est exactement ce que Citizen propose ! Et puis, la qualité des marques japonaises n’est plus à prouver et Citizen est la plus puissante de ces marques dans le monde.
Les nombreuses innovations de la marque sont aussi très importantes, notamment l’Eco-Drive, ce fameux système de recharge des mouvements de montres grâce à la lumière qui fait de surcroit de Citizen, un horloger très lié à l’écologie.
Quelles ont été vos premières impressions sur Oris ?
C’était une énorme entreprise d’environ 800 employés à l’époque, qui produisait presque tout ce qui était nécessaire à la fabrication d’une montre mécanique. Elle était basée à Hölstein (ndrl : en Suisse) mais il y avait en tout sept installations dans la région. Très concentrés sur la fabrication, nous avions même façonné nos propres machines et outils. Etre impliqué dans cette maison était exaltant.
Comment l’entreprise a-t-elle changé ?
Ce qui est merveilleux avec Oris, c’est qu’elle est restée indépendante et située sur le même site d’Hölstein depuis sa création en 1904. Dans les années 1960, Oris était la meilleure de sa catégorie et elle l’est toujours. Les racines de la société sont toujours présentes et les principes fondateurs aussi : horlogerie mécanique, combinaison de méthodes de production industrielle et de fabrication artisanale, qualité Swiss Made et prix justes. A présent, l’accent est mis sur le développement produit, la création de marchés et la collaboration avec les filiales suisses partenaires.
Quels sont les moments forts de l’histoire d’Oris selon vous ?
Le moment où nous avons renversé le statut de la montre suisse dans les années 1960 a été une étape perturber l’équilibre esthétique du cadran. On en parle peu mais à l’époque, Oris - et de nombreuses marques suisses – ont été alors libérées de règles archaïques qui les empêchaient d’innover et de créer de meilleures montres.
Sans cela, l’histoire de la montre suisse serait très différente. Il y a eu aussi le rachat par Ulrich W. Herzog et moi-même à la fin de 1982. Le groupe ASUAG, alors propriétaire d’Oris, semblait ravis de la laisser mourir. Mais nous avons créé une nouvelle société qui nous a permis de reconstruire Oris et de perpétuer sa merveilleuse histoire.
