Boitier en or rose poli et rond de 45 mm
Epaisseur : 12.1 mm
Verre saphir anti-reflet
Fond saphir
Gravage de fond : « Model unique » et « Répétition minutes »
 
Etanchéité : 30 m
 
Cadran en or rose
Décor : motif concentrique réalisé par un maître-artisan graveur
Finition : chemin de fer minuterie appliqué main
Aiguilles : disque satellites bruns inscription blanche
 
Mouvement PF321 à remontage manuel
Fréquence : 2,5 Hz – 18’000 A/h
Dimensions : 15''' – Ø 34 mm
Epaisseur : 8.5 mm
Composants : 386
Rubis : 33
Décoration : "Côtes de Genève", ponts anglés
 
Réserve de marche : 40 heures
 
Fonctions : heures, minutes, heures passantes et affichage du temps par secteur
 
Bracelet en alligator Havane de chez Hermès sur boucle ardillon en or rose

On retrouve également, et bien évidemment, le trait distinctif de la Toric ; à savoir sa lunette moletée à la main. En effet, depuis 1997, l’année de sa création, chaque montre est passée par les mains d’un artisan du Noirmont (Jura) qui a produit l’ensemble des lunettes Toric.
 
L’art du moletage consiste à fluer la matière avec une roulette qui imprime son crantage dans le métal. Pour cela, il faut allier la fermeté et la finesse dans un même geste, puis avoir le courage de se lancer sachant qu’une seule imperfection force à tout reprendre. De fait, chaque moletage est unique ; chaque Toric également.
 
Le boîtier en or rouge de 40,8 mm (ni trop grand, ni trop petit pour une montre de ville contemporaine) renferme quant à lui, le calibre Maison PF441 certifié COSC : heures, minutes, secondes et quantième trainant d’une réserve de marche de 55h. La terminaison et l’accroche du bracelet ont été redessinées, de même que l’ergonomie des cornes, pour un plus grand confort au porter. La couronne est également plus imposante.

En écho à son engagement d’utiliser 100% d’or Ethique pour la production de l’ensemble de ses montres et bijoux depuis juillet 2018, Chopard a décidé d’habiller cet imposant symbole de Noël d’une hauteur de 8 mètres de resplendissantes grenailles d’or.
 
Baptisé le « Golden Star », chacune des pépites dorées installées sur ses branches joue des effets de lumière et démultiplie l’éclat de ses guirlandes scintillantes, sans compter l’exaltation olfactive de la pureté du sapin, rappelant les hivers enneigés à la montagne.
 
L’émotion des fêtes de fin d’année est assurément au rendez-vous.

C’est donc officiel. Alors que les salons horlogers ne sont pas forcément au mieux de leur forme avec le départ de nombreuses marques et une évolution du marché et de la distribution qui change la donne, le SIHH et la Foire de Bâle viennent d’annoncer l’harmonisation de leurs dates.  
 
Ainsi, à partir de 2020, le SIHH se tiendra du 26 au 29 avril à Genève suivi immédiatement par Baselworld du 30 avril au 5 mai à Bâle. Autre point important : les calendriers ont été synchronisés de la sorte jusqu’en 2024.
 
Jusqu'ici le SIHH avait lieu en janvier, alors que Baselworld se tenait en mars. « Cette situation impliquait que les professionnels, la presse et les clients communs aux grandes marques horlogères devaient se rendre deux fois en Suisse en l'espace de quelques semaines seulement » une situation peu problématique pour les Européens mais nettement plus handicapantes pour les autres régions du monde. .
 
Comme le souligne Fabienne Lupo, présidente de la Fondation de la Haute Horlogerie qui organise le SIHH : « Nos deux évènements ont de tout temps été différents, mais complémentaires. Cette concomitance retrouvée des dates entre SIHH et Baselworld (ndlr : comme avant 2009) renforcera la Suisse en tant que destination incontournable pour l’horlogerie dans le monde. Ce dont nous nous félicitons grandement dans l’intérêt de tous ».
 
« Baselworld et le SIHH sont au service de l'industrie et de ses clients. Nous avons cherché le dialogue avec le SIHH et avons trouvé ensemble une solution extrêmement avantageuse pour les visiteurs, les médias et au final pour l'industrie horlogère dans sa globalité » déclare Michel Loris-Melikoff, Directeur Général de Baselworld.
 
Dans ce contexte, que va-t-il se passer avec le Swatch Group qui a quitté cette année Baselworld et qui pensait éventuellement organiser son propre évènement dans la foulée du SIHH ? Va-t-il réintégrer la Foire de Bâle, organiser son salon à un autre moment ou tout simplement arrêter les salons ? L’avenir nous le dira.

En guise de modèle pré-SIHH, Jaeger-LeCoultre vient d’introduire une nouvelle version de son fameux modèle Ultra Thin, dans un boitier en or blanc de 39 mm embarquant un calibre « trois aiguilles – date circulaire et phase de Lune » qui affiche le temps qui passe sur un splendide cadran en émail guilloché à la main. Une montre très sage en apparence, mais qui derrière son aspect relativement discret, est une véritable pièce de collection qui ne sera produite qu’à cent exemplaires.
 
Le fait est que ce que l’on remarque de prime abord sur cette montre, c’est bel et bien son splendide cadran guilloché à la main et émaillé bleu. Un bleu profond (blue is new black) que viennent rehausser les motifs géométriques et l’effet de relief caractéristiques du guillochage, une technique de décoration traditionnelle plus que jamais au goût du jour.
 
Réintroduit depuis 1999 au sein de la « Grande Maison », l’émaillage relève lui aussi d’un savoir-faire séculaire. Réalisé à la main par quelques artisans qui sont formés en interne, cette technique demande une concentration extrême, une infinie patience et une méticulosité sans faille. Des qualités nécessaires pour le travail du guillochage et l’application de la couche d’émail translucide bleu.
 
Au-delà de ce cadran très haut de gamme, on remarquera que la phase de Lune a été redessinée : ainsi, lorsque l’astre lunaire est plein, son disque parfaitement rond et poli se pose sur un beau fond étoilé. Les connaisseurs remarqueront également le design revu des index à la forme plus allongée qui se dédoublent à quatre temps, soit à 12, 3, 6 et 9h.
 
Dans le guichet à 6h, le compteur qui abrite la phase de Lune polie, a été gravé, de façon à faire ressortir les chiffres du compteur à date. Au cœur de ce boitier en or blanc de 39 mm, étanche à 50 mètres, bat le cœur de son calibre JLC 925, mouvement mécanique à remontage automatique avec une réserve de marche très confortable de 70h.  Ce dernier est visible à travers le fond saphir de sa boite.