Au long de sa carrière, Ferdinand Berthoud dépose régulièrement divers mémoires et de procédés à l’Académie des sciences. Son assiduité témoigne de ses talents et lui assure la protection de membres influents de la société savante. Ces derniers lui garantissent la suprématie dans le domaine de la chronométrie de marine au milieu des années 1760, lui ouvrant ainsi les portes du succès.
Baltic Aquascaphe : joli saut dans le grand bain !
La montre se porte au choix sur bracelet tropical, cuir ou acier « grain de riz) très souple et confortable même si note l’absence d’un fermoir de protection. Il est doté d’un système de flash-pompe pour changer de strap sans avoir besoin d’outil.
« Last but not least », cette montre assemblée en France à Besançon, est proposée avec une garantie de deux ans au prix de 579 euros en précommande pour livraison l’année prochaine en juin ; ensuite, il faudra compter 695 euros. Au final, encore une belle nouveauté chez Baltic, d’un excellent rapport qualité-prix et au design réussi, qui confirme clairement son statut d’outsider qui compte sur le marché.
Michel Herbelin arrive rue Royale chez Emile Léon
Cela fait des années que ce magasin est dédié à l’horlogerie. Il a en effet appartenu à la famille Milliaud pendant longtemps, avant de changer de main et de devenir Emile Léon.
Emile Léon est un détaillant horloger atypique en ce sens qu’installé en plein cœur de Paris, et surtout, en plein cœur du luxe parisien, il propose une offre horlogère alternative qui sort des sentiers battus…
Jugez-vous-même : Corum côtoie Garmin et Oris, Frédérique Constant, Atelier de Monaco, Citizen, Dodane, Maurice Lacroix, Junghans, etc. Bref, vous trouvez donc chez Emile Léon, des montres que vous ne verrez pas forcément ailleurs, loin des grands groupes qui trustent les vitrines et empêchent les « plus petits » d’exister. Et cela fait du bien de voir autre chose de temps en temps.
Jaquet Droz Grande Seconde Skelet-One céramique : l'une des plus belles
La Grande Seconde est un grand classique de chez Jaquet Droz. Depuis sa création, elle a d’ores et déjà reçu de nombreuses versions, mais incontestablement, cette nouveauté est de loin la plus moderne et la plus contemporaine avec son boitier en céramique de 41,5 mm (étanche 30 mètres) associé à une calibre squelette.
A ce sujet, c’est d’ailleurs la toute première fois que cette pièce se dispense de cadran. En lieu et place : une « ouverture » directe sur le mouvement traitée d’un revêtement noir « NAC » qui s’accorde parfaitement au boitier et renforce son côté masculin.
On notera les finitions du boitier, satiné sur le dessus, à l’instar de ses cornes. A l’inverse, son côté est poli, favorisant un jeu de lumière amplifié par son double verre saphir « glass box », dessus et dessous, offrant la plus large ouverture possible sur le mouvement squelette.
Rappelons que le squelettage d’un calibre consiste à le rendre le plus « transparent » et aérien possible en ôtant le plus de matière possible sur ces différents composants, sans jamais bien sûr, nuire au bon fonctionnement de son « moteur » !
Omega - Olivier Keller et son Omega Seamaster


« Je m’intéresse aux montres depuis mes 18 ans, quand j’ai commencé à disposer d’un petit pouvoir d’achat, mais j’ai dû économiser quatre ans pour acheter la première et me l’offrir à l’issue de mon école de gendarmerie. » En tant que plongeur suisse, Olivier Keller tenait naturellement à ce que cette grande première soit une montre de plongée, automatique et suisse. En se renseignant, il s’est rapidement aperçu que l’Omega Seamaster 300 Automatic Professional Diver correspondait le plus à ce qu’il recherchait dans son budget. « J’ai flashé dessus et pas seulement parce que je l’avais vue au poignet de James Bond ! »
Bulgari - Interview de Guido Terreni







Guido Terreni a rejoint Bulgari en 2009 et a chapeauté le lancement des collections Octo, Serpenti et Lvcea. Alors que Nouvel An et la sortie des nouveaux modèles approche, WorldTempus a souhaité revenir sur la dernière décennie et les garde-temps phares de Bulgari.
Parmigiani Fleurier - Toric Chronomètre Slate

Après le lancement l'année dernière de la Toric Chronomètre, une interprétation contemporaine de la première montre dessinée par Michel Parmigiani, la manufacture en dévoile cet automne une nouvelle version au cadran guilloché "grain de riz" à la main évoquant la structure hélicoïdale d’une pomme de pin. L’arrangement des écailles d’une pomme de pin est l’une des nombreuses manifestations du Nombre d’Or dans l’ordre naturel, un Nombre d'Or qui ne cesse d'inspirer Michel Parmigiani.
Carl F. Bucherer - Free Spirit
Chronométreur officiel des équipes nationales suisses depuis 2016, Carl F. Bucherer renforce ses liens avec le monde du football en... Chronométreur officiel des équipes...
Armin Strom GMT Resonance
Armin Strom reste une marque largement confidentielle, connue de quelques amateurs d’horlogerie seulement. Toutefois, cette maison indépendante encore en mains familiales, conçoit des montres d’exception -elle possède son propre outil de production- qui trouvent leur place au sein des plus belles collections horlogères dans le monde : de Moscou à Hong-Kong en passant par Miami.
Ce modèle totalement hors-norme met la résonance à l’honneur : pour ce faire, deux mouvements indépendants ont été placés côte-à-côte dans un imposant boîtier ovale de 59 mm x 43,4 mm. Leurs régulateurs sont couplés par le ressort débrayable « Resonance », breveté par Armin Strom, « qui assure un mouvement horloger à deux-temps permanent entre les balanciers oscillants doubles » indique la marque dans son communiqué.
On sait depuis longtemps que la résonance des mouvements de montres et d’horloges, avec oscillateurs couplés synchronisés, améliore la précision en lissant les légères différences de précision de chaque mouvement et, pour les montres, en minimisant les effets indésirables des chocs sur la précision. « Ce que l’on sait moins, c’est que la résonance permet aussi de faire des économies d'énergie : l'énergie vibratoire qui se perd normalement entre les supports du régulateur est ici, conservée dans le système » précise encore le communiqué de la marque.
De fait, les tests réalisés en laboratoire par Armin Strom semblent révéler des gains de précision de 15 à 20% pour deux mouvements régulés de niveau chronomètre COSC, placés en résonance.
Le placement de deux calibres côte-à-côte (plutôt qu’empilés verticalement) a naturellement abouti à un boîtier de forme ovale, tandis que l’espace supplémentaire offert par les mouvements dans cette configuration laissait la possibilité de disposer de deux barillets par mouvement et d’une réserve de marche plus importante (110 h par calibre).
Le premier mouvement, à gauche, indique les heures, minutes, un indicateur 24 heures et indicateur de réserve de marche. Le second mouvement indique quant à lui, les heures, les minutes et un indicateur de réserve de marche.
Race for water : Breguet tire le bilan de cette première année de collaboration
Breguet collabore avec Race for Water depuis mars dernier (depuis le dernier Baselworld) en qualité de partenaire principal sur un programme qui s’étend sur cinq ans, baptisé l’Odyssée 2017-2021, qui consiste en une mission pour lutter contre la pollution des océans.
Cette collaboration se fonde sur une stratégie à long terme. La maison horlogère s’est en effet engagée à soutenir la fondation au cours de ses expéditions autour du monde et à contribuer à la sensibilisation des décideurs et du grand public, ainsi qu’à l’éducation des jeunes générations.
Tout au long de l’année 2018, le navire révolutionnaire de Race for Water, propulsé par un mélange d’énergies propres (solaire, éolienne et hydrogène), a fait des haltes sur plusieurs îles et villes côtières afin de démontrer que la transition énergétique était une réalité.
Après avoir quitté le Panama en mars 2018, le bateau a poursuivi son périple à travers l’océan Pacifique vers le Pérou et le Chili, puis a fait escale à l’île Robinson Crusoé. Il a ensuite rejoint l’ile Rapa Nui (anciennement île de Pâques) et la Polynésie française avant d’arriver aux îles Samoa en novembre puis aux îles Tonga en décembre.
Depuis le début de l’Odyssée, le navire a visité neuf pays, accueilli plus de 3’200 enfants à son bord et rencontré plus de 8’500 invités officiels.