Cette marque « ultra-niche » installée sur les rives du lac de Neuchâtel, souhaite « donner du sens à la beauté » au travers de pièces uniques ou de séries ultra-limitées.
 
Pour ce faire, elle propose à ses clients d’introduire au sein de ses montres, des allégories, des messages ou des symboles qui s’apparentent à des parcours initiatiques, désirés par le porteur et parfois seulement compris de lui seul et de ses proches.
 
Il s’agit en effet de l’une de très rares marques horlogères à cultiver sur le cadran de ses pièces et parfois jusque dans ses rouages, des références et des emprunts aux différentes cultures, à la philosophie, à la religion, aux légendes ou croyances…
 
L’usage de l’alphabet arménien, dont l’esthétique à nulle autre pareille est un mélange de courbes et d’angles enchevêtrés, remplace ici, sur ce cadran, avantageusement toute forme d’index. Cette écriture mystérieuse, inventée par le moine Mesrop Mashtots en 405 après J.-C, est encore en usage aujourd’hui.
 
Kerbedanz, en créant cette pièce destinée à être offerte à sa Sainteté le Pape François, ne s’attendait pas à recevoir l’insigne honneur d’être agréée par les musées du Vatican. En effet, puisque Sa Sainteté refuse toute forme de cadeau quel qu’il soit, les objets offerts alimentent généralement une vente aux enchères destinée aux bonnes oeuvres de l’Eglise.
 
Seule une infime partie de ces dons est appelée à rejoindre les riches collections des Musées du Vatican, un ensemble muséal de douze musées comprenant 1.400 salles réparties en cinq galeries.
 
En juin 2016, en effectuant un voyage de deux jours en Arménie, sa Sainteté le Pape François visitait un pays qu’il avait une fois déjà baptisé « la plus ancienne nation chrétienne du monde ». Juste avant d’atterrir à l’aéroport international de Yerevan, dans une vidéo à l’adresse des habitants, il apportait en ces mots son soutien à l’Eglise Apostolique Arménienne et donc, par extenso, aux Arméniens du monde: « Je viens en pèlerin, pour puiser dans la sagesse ancienne de votre peuple et m'imprégner des sources de votre foi, je viens en frère, pour prier avec vous et partager le don de l'amitié ».
 
Natif d’Argentine, une des nations les plus riches en Arméniens de la diaspora (environ 100.000 après les 1.5 millions que comptent les Etats-Unis) nul doute que Sa Sainteté dispose d’une connaissance particulière de l’histoire de ce peuple aux origines de la foi chrétienne. Nul doute que l’histoire de ce moine d’Arménie qui, dans l’optique de mieux traduire la Bible, mit au point l’invention d’un nouvel alphabet, doit lui sembler digne du devoir de mémoire.

Cette année encore, les visiteurs pourront admirer le ketch Eilean de 1936, dessiné et construit par William Fife Shipyard et restauré –à grands frais- par Panerai qui l’utilise depuis 2009 afin de promouvoir sa marque et la culture de la voile classique. Un splendide « outil de com’ ».
 
Parmi les concurrents en lice, on pourra notamment apercevoir le voilier de 9 mètres Brynhilde (1958) et le cotre bermudien de 40 mètres Cambria, dessiné et construit par le mythique chantier naval écossais Fife en 1928. Heureuse coïncidence, tous les Big Boats inscrits à Antibes cette année ont été construit par… Fife !
 
Parmi ceux-ci, on notera la présence de Moonbeam IV (1914), vainqueur à quatre reprises du Panerai Classic Yatchs Challenge, de Mariska, de Moonbeam of Fife, de Tuiga, le voilier du Prince Albert de Monaco et de Hallowe’en (1926) qui tentera de conserver son trophée Big Boats décroché pour la première fois à l’issue de la saison 2017.
 
La prochaine étape du circuit sera l’Argentario Sailing Week du 13 au 17 juin prochains.   

Depuis plus de deux ans, la M.A.D. Gallery de MB&F était installée dans un magasin-loft situé en plein du quartier d’Alserkal Avenue. Un lieu où se trouvent de nombreuses galeries d’art et des enseignes alternatives, mais un lieu quelque isolé en plein Dubai, uniquement accessible en voiture et trop éloigné de la clientèle grand public de passage. Bref, un lieu intéressant pour démarrer, mais pour une clientèle d’amateurs uniquement.
 
Seize mois plus tard, après d’intenses discussions avec Ahmed Seddiqi & Sons, le détaillant local gestionnaire de la galerie, MB&F a senti que le moment était venu de passer à l’étape supérieure. En ce sens, la récente extension du Dubai Mall était une magnifique opportunité à saisir. Avec cette ouverture, le concept prend clairement de l’envol et devrait connaitre un beau rayonnement sur l’ensemble de la clientèle de la région mais également sur de riches clients de passage.
 
Précisons que la galerie de Dubai est la troisième ouverture de M.A.D. Gallery après le lancement du concept à Genève en 2011, suivi de celui de Taipei en 2014. Ces galeries, sortes de concept-stores, présentent les œuvres mécaniques et cinétiques d’artistes dénichés à travers le monde, ainsi que nos propres MB&F Horological Machines et co-créations. Un lien fascinant pour les grands enfants que nous sommes restés.
 
Le concept M.A.D. Gallery de MB&F propose un univers fascinant d'art cinétique où Horological Machines et M.A.D. sont rois. M.A.D.? Des « Mechanical Art Devices » ou dispositifs mécaniques à vocation artistique, comme MB&F aime les appeler.
 
A l’origine MB&F a créé la M.A.D. Gallery dans le but d'inscrire ses Machines Horlogères dans un environnement approprié. Ce faisant, elle a découvert des talents dans le monde de l'art cinétique. Fondateur et créateur de MB&F, Maximilian Büsser s’explique : « nous considérons la M.A.D. Gallery comme une plateforme idéale pour exposer nos Machines ainsi que d'autres œuvres d'art mécanique réalisées par des créateurs que nous admirons beaucoup.
 
MB&F crée des Machines qui donnent l'heure, non pour donner l'heure. Ce sont des exemples uniques d'horlogerie mécanique mais, bien plus que cela, ce sont des œuvres d'art cinétique en trois dimensions. Il en va de même pour tous les créateurs exposés dans la galerie: leur art transcende un but pratique et leur création accède au statut d'œuvre d'art.
 
La M.A.D.Gallery nous permet de rencontrer des artistes de même sensibilité œuvrant dans des univers parallèles; des gens qui pensent comme nous et sont animés de la même passion pour l'art mécanique ».
 
www.madgallery.net

La Wave de chez Ebel a été relancée dans cette version de 30 mm durant l’été 2014. Cette nouvelle collection redonnait alors de la vitalité à une montre emblématique qui a fait rêver des générations de femmes…
 
A l’origine, le bracelet souple à maillons « vagues » (« wave » en anglais) fut lancé en 1977 sur la montre Sport Classic et devint immédiatement un signe de reconnaissance de la marque Ebel. Une reconnaissance qui dura des années…
 
Ebel lance cette année trois nouveaux modèles Wave pour femmes ornés de cadrans qui se parent d’un motif polygonal de couleur rose pâle, bleu clair ou argenté associés à quatre chiffres romains et des index en diamants protégés par un verre saphir.
 
Pour le reste, ces montres conservent un petit boitier acier de 30 mm étanche 50 mètres, un calibre quartz de chez Ronda et le fameux bracelet à maillons vague brossé et poli.
 
Aujourd’hui, la collection Wave se compose de près de quarante modèles féminins et d’une quinzaine de modèles pour homme. Pour les fans du modèle, c’est un classique. Pour celles qui recherchent une montre de luxe, c’est une pièce toujours très attirante.

Seiko vient donc d’annoncer son nouveau partenariat avec l’océanographe et défenseur des océans Fabien Cousteau. Comme son célèbre grand père, Fabien a consacré sa vie à l’exploration des océans et à la promotion de la préservation de leur santé de plus en plus défaillante.
 
Si Fabien Cousteau a suscité l’admiration de l’horloger nippon, c’est parce qu’il n’a jamais baissé les bras face aux difficultés qu’il a rencontrées durant ce combat qu’il mène pour préserver les océans des effets néfastes résultants de l’activité humaine et des changements climatiques. Dans cet esprit, Seiko a souhaité contribuer au travail du « Fabien Cousteau Ocean Learning Center », une institution créée par ce quinquagénaire pour apporter une contribution directe et positive à la santé des océans.
 
A noter d’ailleurs de que de plus en plus d’horlogers, surtout suisses, s’engagent dans la protection des océans ces derniers temps. Très récemment Breguet et Breitling, mais aussi depuis plus longtemps, Jaeger-LeCoultre, Blancpain, Oris ou encore IWC, les grands noms suisses financent de nombreux programmes pour nettoyer et préserver les mers du globe.