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Edito - La fin de l’heure d’été ?

Je ne pensais pas parler de fuseaux horaires une deuxième fois cette année (la première fois était ici), la faute au Brexit qui soulève des sujets délicats et en particulier l'épineuse question de la frontière entre la République d'Irlande et l'Irlande du Nord. Un sujet comme la suppression de l'heure d'été dans toute l'Europe se termine inévitablement en querelle à propos de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.

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Alpina - Renouvellement du partenariat avec la Fédération Française de Ski

Renouvellement du partenariat avec la Fédération Française de Ski
Renouvellement du partenariat avec la Fédération Française de Ski

Née dans les Alpes suisses, Alpina partage depuis toujours les valeurs du ski, un sport dans lequel les compétences techniques, la précision, la persévérance et le respect de la montagne sont essentiels. Fournisseur Officiel et « Montre Officielle » de la Fédération Française de Ski depuis 2016, la marque a souhaité réaffirmer son soutien à la FFS et à ses athlètes. Leurs excellents résultats, tant en Coupe du monde qu’aux derniers Jeux Olympiques de Pyeongchang ont conforté la marque dans son choix de prolonger de deux ans ce partenariat fructueux.

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Omega - "From Seamaster to Seamaster : The first 70 years"



À travers plus de 200 photos exclusives de montres, « From Seamaster to Seamaster » (« De la Seamaster à la Seamaster : les 70 premières années ») raconte l’aventure d’une évolution, d’une révolution et d’un artisanat de haute précision. 70 montres Seamaster uniques ont été sélectionnées pour ce projet afin d’être immortalisées dans un studio au décor véritablement créatif. 

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Longines - La dernière édition de Roland-Garros avec Longines

C’est après onze années de collaboration que Longines a décidé de ne pas renouveler son contrat et de tirer sa révérence en tant que Partenaire et Chronométreur Officiel de Roland-Garros. En effet, l’édition 2018 du tournoi a marqué le dernier chapitre de la belle histoire qui a lié la marque à l’événement parisien sur plus d’une décennie. Cette dernière a été ponctuée d’initiatives communes dédiées à la promotion des jeunes espoirs du tennis, comme le tournoi des Longines Future Tennis Aces, qui mettait au prise 20 joueurs de moins de 13 ans et de 20 pays différents, ou encore l’opération « Rendez-vous à Roland-Garros en partenariat avec Longines », qui permettait de remporter une place pour le tournoi Junior de Roland-Garros.  

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Tradee Watch : une appli-réseau social pour vendre ou échanger sa montre

Après le rachat par Richemont du spécialiste des montres d'occasion Watchfinder, c’est au tour d’Audemars Piguet d’annoncer son intention d'ouvrir d'ici trois ans des magasins indépendants pour acheter et vendre des montres d'occasion. La marque a testé le concept dans un magasin du Grand Hotel Kempinski à Genève et envisage de commencer des essais aux États-Unis et au Japon.
 
D’autres comme F.P. Journe ou Vacheron Constantin, proposent aussi ce type de services. Bref, ce qui est courant dans l’automobile depuis des années commence enfin à se développer dans l’horlogerie de luxe. Mais les marques ont été longues à la détente, jugeant le marché de l’occasion comme « inférieur » et dénaturant leur image de marque !
 
Dans ce contexte, les horlogers vont devoir agir rapidement s’ils veulent s’imposer dans le secteur de la « seconde main », car le e-commerce menace déjà s'emparer de ce marché pour le moment principalement « physique » et aux mains des spécialistes. Par exemple, Amazon.com a déjà des listes d’Audemars Piguet d'occasion certifiées allant de 3.000 dollars à 200.000 dollars.
 
En France, la start-up Tradee s’implante sur ce segment, avec 20 000 utilisateurs sur sa marketplace depuis sa phase de test il y a tout juste sept mois. « L’application ambitionne de devenir le premier répertoire de montres de particuliers en Europe devant le leader mondial Chrono24 » indique le communiqué.
 
Une belle ambition, mais ce n’est pas gagné. Chrono24 trustant absolument toutes les places et affichant des milliers de montres d’occasion vendues autant par des particuliers que des professionnels. Ce, dans le monde entier. Chrono24 est tout simplement devenu incontournable.
 
Concrètement, Tradee se veut être une « application simple et ludique ». Après avoir publié gratuitement son annonce, l’utilisateur visualise ses matchs, c’est à dire, les montres de même valeur que celles que l’algorithme de l’application lui suggère.
 
Il peut dès lors entrer en contact avec leurs propriétaires pour organiser un échange ou concrétiser une vente. Pas certain que cela fonctionne, l’échange n’étant clairement pas ce que recherchent les particuliers. Pour la vente en revanche, pourquoi pas, mais les vendeurs sont souvent plus rassurés par le fait de vendre à un professionnel. Ils vendent moins cher certes, mais c’est aussi moins risqué. Physiquement, financièrement et en matière de contrefaçon. La plupart du temps, la sécurité est à ce prix.  
 
« Tradee se positionne à mi-chemin entre une marketplace et un réseau social. Au-delà̀ de faciliter les transactions, l’application créée une véritable communauté : les utilisateurs y exposent leur collection, suivent leurs amis et leurs collectionneurs préférés, discutent en s’envoyant directement des messages et flânent sur l’application à la découverte des belles montres classiques ou d’exception », explique Guillaume Kuntz co-fondateur et directeur de Tradee.
 
Sauf que la plupart des collectionneurs, surtout en France, ne souhaitent absolument pas montrer leur collection (même s’ils utilisent un pseudo) ; trop dangereux. Pour vivre heureux et en sécurité, vivons caché. Et puis ce type de « réseau social horloger » existe déjà sur Instagram ou Facebook. Bref, pas certain que ce nouveau concept parvienne à s’installer durablement sur le marché d'autant qu'on ne sait pas comment cette appli gagne de l'argent...

Auteur d'origine: Jean-philippe Tarot

Richard Mille ouvre un flagship à New-York

Situé au 46 East sur la 57ème rue, au cœur de Manhattan, cet espace de 390 m2 est donc la neuvième boutique Richard Mille en nom propre sur le continent américain. Le style contemporain et épuré se déploie sur deux étages. Baigné de lumière naturelle, ce flagship pose les jalons d’un nouveau standard architectural pour la marque.
 
« Dès les débuts, l’un de mes objectifs majeurs était d’ouvrir une boutique à New York » affirme Richard Mille, fondateur et PDG de la marque. Ce qui parait effectivement une évidence. « Mais je ne me précipite pas sur un projet tant qu’il n’est pas parfait. Nous savions que cette boutique serait une vitrine essentielle offrant une visibilité mondiale, il était important d’attendre pour trouver l’emplacement idéal ». 
 
Dans cet esprit, Richard Mille et John Simonian, PDG de Richard Mille Americas, ont commencé leurs recherches à New York il y a… dix ans ! Aujourd’hui, le flagship new-yorkais s’est enfin installé sur la partie de la 57e rue surnommée la « rue des milliardaires », notamment grâce à la présence de ses gratte-ciels résidentiels ultra-luxueux.
 
Ce sont les montres elles-mêmes qui ont inspiré chaque élément de la boutique, à commencer par sa façade en verre de près de 10 mètres de haut. Situé sur la plus haute tour résidentielle de l’hémisphère ouest, ce mur transparent s’étend sur deux étages et est éclairé par 50 mètres de lumières LED. En tout, 24 panneaux (soit 16.700 kg au total) ont été gravés individuellement sur trois verres afin de créer une sculpture évoquant le mouvement tourbillon de la RM 008. 
 
L’espace est composé de vitrines en macassar, présentant chacune une pièce de la collection. Les persiennes en verre brisé, les revêtements muraux en cuir ornés de fermetures à glissière et les tapis blancs composent un décor qui se veut à « la fois saisissant et très confortable ».
 
En son cœur, un ascenseur développé sur-mesure transporte les visiteurs au niveau de la mezzanine. À l’instar des montres Richard Mille, sa cabine et sa cage sont entièrement transparentes ; intégré dans une gaine composée de triples panneaux de verre courbes, maintenus par un placage en métal brossé, poli et anglé -comme les boîtiers Richard Mille-, l’ascenseur crée l’illusion d’une capsule flottante. 
 
Avec un bar, des salons VIP, la présentation des collections ainsi qu’un salon surplombant la 57ème rue, la mezzanine offre une atmosphère conviviale pour profiter pleinement de l’univers de RM.
 
La boutique Richard Mille de New York est ouverte du lundi au samedi de 10h à 18h. 
Tél +1-212-419-888823.10.2018

Auteur d'origine: Jean-philippe Tarot

Breitling SuperOcean Héritage II Outerknow : label bleu

Quand on pense Breitling, on pense automatiquement Navitimer. Forcément, c’est « la » montre la plus mythique, non seulement de chez Breitling, mais c’est également l’une des icônes absolues du marché de l’horlogerie. Et à raison d’ailleurs. Pourtant, il faut savoir que le modèle SuperOcean, la « plongeuse » de Breitling, fait également partie des best-sellers de la marque.
 
Ceci étant, cette nouvelle Superocean Héritage II Chronographe 44 Outerknown de Breitling est dotée d’un imposant boitier en acier DLC de 44 mm (étanche 200 mètres) qui embarque un calibre automatique chrono (non manuf’ mais COSC) tricompax en « C » jour et date doté d’une réserve de marche standard de 42h.
 
Cette « plongeuse » s’inscrit dans une grande tendance dans l’horlogerie. Celle de la sauvegarde de la planète et plus précisément, celle de la sauvegarde des océans. De Blancpain à IWC en passant par Seiko, Oris ou encore Breitling, de plus en plus d’horlogers se lancent dans la protection de la nature. Quand le marketing fait du bien à notre Terre, pourquoi pas.  

Auteur d'origine: Jean-philippe Tarot

Anonimo - Epurato : un vert à porter sans modération

Epurato : un vert à porter sans modération
Epurato : un vert à porter sans modération
Epurato : un vert à porter sans modération

L’idéal aurait bien sûr été de profiter d’un week-end à Florence pour tester l’Epurato d’Anonimo et la prendre en photo sur fond de basilique Santa Croce, de Ponte Vecchio ou de Piazza della Signoria. Mais Anonimo a déjà photographié son Epurato au cœur de la ville, et, cliché mis à part, je peux vous assurer, pour avoir porté la montre au quotidien plusieurs jours de suite, que nul n’est besoin du décor de la ville-musée pour qu’elle fasse tout son effet au poignet. 

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