Signe des temps, ce n’est pas lors d’un grand salon horloger, ni même en Suisse que Breitling a choisi de lancer une nouvelle collection, mais lors d’un gros événement à Londres, auquel avaient été conviés une sélection de journalistes et des influenceurs de plus en plus incontournables. L’annonce la plus importante de cet événement a sans aucun doute été le grand retour d’un nom familier à tous ceux qui connaissent l’histoire de Breitling: Premier.
Sandrine Stern, directrice de la création de la manufacture, présente le design et l’esprit de ce modèle au style sobre et intemporel. Sandrine Stern, directrice de la...
Roger Dubuis est convaincue que les femmes apprécient tout autant que les hommes de porter des calibres techniques et audacieux. La marque perçoit la femme comme quelqu'un de sensible à l'esthétique et à la technologie, fixant ses propres objectifs, imposant ses propres règles et se démarquant du reste du monde. À l’instar de la femme Roger Dubuis, l’étoile filante ne répond à aucune règle et c’est pour cela qu’elle a été choisie pour conférer une esthétique féminine à l'Excalibur Tourbillon Volant - Étoile Filante. Enrichi de techniques alternatives, ce garde-temps étanche à 50m se décline en trois coloris : blanc, bleu et rose. Ces trois modèles sont des éditions limitées à 8 exemplaires.
La collection Premier de chez Breitling fait référence aux montres Breitling éponymes des années 40. Alors que la Navitimer s’inscrit dans l’aérien, la SuperOcean dans le monde du silence, la Premier a les pieds sur terre, son univers de prédilection, un esprit plus chic et plus urbain.
A noter qu’on retrouve ici le fameux trio du marketing horloger cher aux marques de luxe… Air, terre, mer, les trois segments clefs -ceux des armées- d’un catalogue digne de ce nom, que l’on retrouve également chez Bell & Ross ou MATWatches. Liste non exhaustive.
Dans la pratique cette nouvelle collection se compose de deux chronographes (un bicompax manuf’ et un tricompax calibre standard), clé de voûte de la réputation mondiale de la marque, de modèles avec indication du jour et de la date, ainsi que des montres épurées à trois aiguilles dotées d’un cadran auxiliaire de petite seconde. Le tout dans différentes versions de cadrans et de bracelets.
Une collection qui se démarque par un design sobre (trop ?) qui permet à la marque d’élargir son catalogue à des montres plus habillées et plus raffinées. Plus urbaines dit-on de nos jours. Ce qui manquait clairement dans son offre. Globalement, les montres sont belles et assez stylées mais manquent peut-être un peu de personnalité.
Naturellement, aucune information n’a filtré sur les raisons de cet arrêt -brutal- alors même que le tournois se dote d’un tout nouveau stade plus grand, plus moderne et mieux aménagé. Les organisateurs devenaient-ils trop gourmands ? L’avenir le dira. Peut-être…
Reste une autre question ? Ce stade ne peut rester sans horloge... Qui va donc reprendre ce partenariat hautement prestigieux ? Une autre marque du Swatch Group ? Rado comme dans les années 80 ? Omega ? Ou bien encore Rolex qui truste l’univers du tennis depuis des années… Affaire à suivre.
Généralement, quand on commence à aimer les montres, il nous en faut plusieurs. Non pas toutes, c’est impossible, mais on aime en avoir de différentes pour en changer régulièrement ; même s’il est vrai qu’on fini souvent par toujours porter la même. Mais ceci est une autre histoire.
Bref, si vous aimez les montres et que l’idée d’en faire collection vous vient à l’esprit, voici un livre fait pour vous. Vous voulez collectionner les cadrans bleus ? Les montres en titane ? Les garde-temps des années 70 ? Ceux d’une marque bien précise ? Les GMT ? Les chronos ? Les sujets sont variés et les choix sont vastes. Au-delà des prix bien évidemment…
Dans cet esprit, Nicolas Esposito, chercheur et enseignant passionné et collectionneur de montres, vous propose différentes manières de créer et organiser une collection de montres. Pour ce faire, il présente en images une sélection de modèles mécaniques, principalement pour homme, organisée en petites collections et composée d’un (c’est un peu limité) à cinq modèles, voire plus, qui se complètent généralement en termes d’usage (une montre de plongée et une montre pour tous les jours par exemple).
« Son originalité réside dans la variété des gammes de prix présentée : de modèles très abordables à des montres de luxe, sans oublier les montres légendaires et iconiques » assure l’éditeur dans son communiqué.
A noter que cet ouvrage est aussi ponctué d’entretiens avec des collectionneurs et des responsables de marques. Une idée de cadeau pour les fêtes de Noël…
Votre collection de montres mécaniques de Nicolas Esposito
208 pages
l30 euros
En librairie le 1er novembre 2018
Un autre rouage séparé, aussi mené par l’arbre du barillet, entraîne l’aiguille de 10 minutes.
De son côté, l’Octa Sport affiche les heures diurnes et nocturnes ainsi qu’une date encore plus grande (4.7x2.6 mm) pour une lisibilité optimale. Son mouvement à remontage automatique assuré par un rotor en titane avec un segment en tungstène qui optimise tous les mouvements du poignet. Sa réserve de marche, exceptionnelle, s’élève à 160 h !
Parrain du Centigraphe Souverain, Jean Todt demeure l’initiateur de l’engagement de F.P. Journe auprès de l’ICM, l’Institut du cerveau et de la moelle épinière qui effectue des recherches pour combattre les maladies dégénératives. De fait, en achetant un Centigraphe F.P. Journe, vous contribuerez vous aussi à faire avancer les recherches médicales.
Pour ce faire, François-Paul Journe s’est engagé aux côtés du Professeur Gérard Saillant, Luc Besson, Michelle Yeoh, Jean Reno, Jean Todt et Michael Schumacher, entre autres, en reversant 30% du profit de la vente de chaque Centigraphe à l’ICM, et cela sans limitation de temps (www.icm-institute.org).
Rappelons que ces deux pièces sont aussi disponibles en platine ou en or rouge avec des finitions martelés.
Le Centigraphe Sport et l’Octa Sport sont disponibles dans les Boutiques F.P.Journe à : Paris, Genève, New York, Tokyo, Hong Kong, Los Angeles, Miami, Beyrouth et Kiev.
Pendant des années, les montres Breitling for Bentley ont constitué une collection à part… Pas toujours très réussies d’ailleurs puisque ces modèles étaient généralement « too much » dans tous les sens du terme. Trop grosses, trop ostentatoires, trop chargées, etc. Bref, on se demande quel était le marché de ces pièces… Les Etats-Unis sûrement.
Alors que Georges Kern a repris les rênes de la marque horlogère il y a plus d’un an maintenant, les choses changent. Et en bien en ce qui concerne cette collection qui disparait en tant que telle pour laisser place à des éditions limitées, un positionnement nettement plus cohérent.
Parcourir la collection horlogère de Raymond Weil, de ses débuts jusqu’à aujourd’hui, s’apparente un peu à traverser l’histoire de la musique et faire jouer des notes de Mozart à David Bowie, en passant par Wagner et même AC/DC. Source d’inspiration de la Maison depuis sa fondation en 1976, la musique ne résonne pas seulement dans les noms de ses montres – Fidelio, Toccata, Maestro, Nabucco, Don Giovanni, Tango, etc - elle est également au cœur de partenariats internationaux avec des artistes célèbres, des marques d’instruments, comme les guitares Gibson, des salles de concerts ou des événements reconnus comme les BRIT Awards. Classique et lyrique, elle a alimenté la passion du fondateur Raymond Weil et continue de gouverner celle de la troisième génération de la famille qui tient aujourd’hui les rênes de la marque et qui compte de talentueux musiciens.
Révolutionnaire, voire même considérée comme « folle » par certains, Roger Dubuis se démarque par son approche intrépide. Sa philosophie ? Prendre des risques, repousser les limites du possible et défier toutes les règles établies, tout en célébrant son héritage suisse. La Manufacture réinvente les codes de l’horlogerie, notamment en s’inspirant d’autres secteurs, et cherche surtout à offrir à ses clients des expériences inoubliables.
