
Designer, influenceur, musicien et fondateur de la compagnie Fragment, Hiroshi Fujiwara est mondialement connu notamment pour ses collaborations avec plusieurs marques ainsi que pour les concept stores POOL Aoyama et THE CONVENI.

Designer, influenceur, musicien et fondateur de la compagnie Fragment, Hiroshi Fujiwara est mondialement connu notamment pour ses collaborations avec plusieurs marques ainsi que pour les concept stores POOL Aoyama et THE CONVENI.




Présentée pour la toute première fois en 1957, la collection SuperOcean a soufflé ses 60 bougies en 2017. Si à l’échelle humaine, l’arrivée à la soixantaine rime avec retraite, il n’en est rien pour cette collection qui fait peau neuve avec de nouveaux modèles alliant technologie de pointe et esthétique intemporelle. A l’occasion de cet anniversaire, Breitling a redessiné cette montre iconique, tout en conservant l’esprit original.









Selon le Larousse, le contre-emploi est un « type de rôle ne correspondant ni au physique ni aux dispositions naturelles d’un comédien ». Risqué, le contre-emploi peut aussi payer.


Des boutiques comme A l’Emeraude à Lausanne sont rares de nos jours. Il s’agit non seulement d’un établissement dédié exclusivement à l’horlogerie et à la joaillerie, mais aussi d’un magasin indépendant en mains familiales. Établi depuis 1909 dans le quartier de la place Saint-François, au coeur de Lausanne, A l’Emeraude sert essentiellement une clientèle locale et fidèle. La famille Cremers, qui a acquis le magasin en 2004, n'est que le troisième propriétaire de cet établissement bien connu des amateurs d’horlogerie de Lausanne. Depuis le rachat, la famille Cremers a considérablement développé le magasin, qui est passé de 60 m2 à plus de 250 m2 en 2017 et a doublé ses effectifs. A l’Emeraude est le seul détaillant horloger en Suisse à disposer d’un espace de vente séparé pour les montres Patek Philippe et Rolex.
Le calibre Baumatic™ BM12-1975A équipe les cinq nouveaux modèles de la Collection Clifton. Une montre fiable et ultraperformante. Le calibre Baumatic™ BM12-1975A équipe...
Panerai développe l’e-commerce et ouvre sa nouvelle boutique en ligne pour l’Europe et la Suisse. Pour l'occasion, un exemplaire du... Panerai développe l’e-commerce et ouvre...
Pour sa deuxième association avec une icône de la musique britannique, Raymond Weil présente une montre aussi intemporelle que l’homme... Pour sa deuxième association avec une...



Le 18e Grand Prix d'Horlogerie de Genève a décerné ses aiguilles et prix (voir le palmarès complet ici). Ce qu'il en ressort ne sera pas du goût de tout le monde et pour cause. Le Grand Prix d'Horlogerie de Genève n'est pas fait pour plaire à tout le monde. Il n'est pas fait pour être représentatif de l'industrie horlogère, mais de son excellence. C'est sa force, c'est sa raison d'être, et surtout c'est le produit de son indépendance. S'il fallait lui trouver un équivalent, allons le chercher du côté du cinéma. Il n'est pas les Emmy Awards, ni les Oscars, et encore moins le box-office. Il est en réalité le Festival de Cannes, dont il partage les aspirations, l'enracinement et le glamour.




Il y a environ dix ans, la montée en puissance d'une horlogerie vintage dans les moindres détails a porté au premier plan un bracelet oublié, le NATO. Bande de tissu d'un seul tenant, qui passe sous la montre, elle reprend le principe des bracelets en nylon tissé qu'utilisaient les pilotes de chasse des forces armées de l'OTAN (NATO en anglais). Fins, simples, économiques, ils bénéficient de tous les avantages liés au tissu en général. En cela, ils sont proches du vêtement : ils sont mode, colorés, se lavent et sont bien tolérés par la peau.


A l'occasion de l'inauguration de sa toute première boutique dédiée le 13 novembre au Macao Center, Corum a dévoilé l'Heritage Corum Lab 01, une nouvelle série limitée reflétant la manière dont la marque conçoit l'horlogerie. « Ce sont deux modèles qui incarnent notre approche disruptive de l’horlogerie, mise en évidence par la juxtaposition de « Heritage » et de « Lab ». En Haute Horlogerie traditionnelle, les deux concepts ne sont jamais associés. L’héritage regarde le passé, le lab l’avenir », explique Jérôme Biard, président de Corum. « Le principe que nous posons avec l’Heritage Corum Lab 01 est précisément de faire dialoguer les deux. Qu’auraient fait aujourd’hui René Bannwart ou Severin Wunderman de l’héritage Corum ? Progressistes, voire avant-gardistes, ils n’auraient certainement pas fait de simples rééditions. L’Heritage Corum Lab 01 est notre réponse à cette vision qui, aujourd’hui plus que jamais, nous anime ».