Dans les Montagnes neuchâteloises, les savoir-faire horlogers se transmettent fréquemment au sein du cadre familial. Jean-Henri Berthoud, justicier, notaire et expert horloger-pendulier forme son frère Ferdinand de 1741 à 1745. Le jeune homme part ensuite se perfectionner à Paris, où naissent les principales innovations et inventions en matière d’horlogerie, branche conjuguant déjà sciences, maîtrise technique et esthétique.
Après le Magic Gold, Hublot repousse une fois de plus les limites du possible en créant une nouvelle matière brevetée: une céramique... Après le Magic Gold, Hublot repousse une...
D’autre part, le verre saphir a été renforcé, passant à 2,8 mm au lieu des 2 mm habituels sur le modèle Etat-Major. Il protège un beau cadran vert soleillé qui correspond parfaitement à l’esprit « green » de cette montre de ville trois aiguilles-date aussi à l’aise sur les terrains de golf que dans un bureau ou même à la plage, puisqu’elle reste étanche à 200 mètres.
Cette nouveauté embarque un calibre mécanique automatique ETA 2824-2, 42 heures de réserve de marche, dont la réputation n’est plus à faire. Comme toujours, la montre est livrée avec plusieurs bracelets, dont un beau cuir marron clair, un élégant caoutchouc vert et un strap en nylon noir. Compter 1.550 euros.
Entre Internet et le luxe, et notamment les montres de luxe, ça n’a pas toujours été une histoire d’amour… Dans les années 2000, la plupart des marques horlogères ne voulaient pas entendre parler du web. A tel point que certaines, encore en 2005/2006, ne voulaient pas envoyer leurs informations ni leurs nouveautés aux sites Internet.
Aujourd’hui, un peu plus de dix ans plus tard, les temps ont bien changé. Non seulement les marques ne jurent que par le web, mais elles sont également extrêmement présentes sur les réseaux sociaux. De nouveaux vecteurs qui leur permettent d’une part de communiquer, mais également, et c’est plus récent… de vendre.
Le fait est que petit à petit, la plupart des grands noms du luxe horloger va se mettre vendre ses produits en ligne, soit directement par le biais de leur site web, soit via des sites marchands spécialisés. En la matière, il convient d’ailleurs de rappeler que Bell & Ross fut parmi les toutes premières marques à se lancer dans la vente en ligne.
Toutefois, sur cette version, la base de la lunette et les maillons centraux du bracelet sont en tantale ; il y en a donc assez peu). Ce métal au coloris gris-bleu s’accorde parfaitement avec le titane de grade 2 du bracelet et du boîtier satiné.
Cette édition limitée est également rehaussée d’or Sedna (or exclusif à Omega), que l’on retrouve par petites touches sur la couronne, l’anneau de la lunette, la valve à hélium, les maillons du bracelet et les aiguilles. Rappelons que l’or Sedna est un alliage spécial breveté d’or, de cuivre et de palladium créer pour garantir une durabilité particulièrement exceptionnelle.
Au dos de la montre, le fond transparent est frappé du fameux hippocampe Omega, un symbole traditionnellement associé à la ligne Seamaster. À travers le verre saphir, on peut admirer le mouvement automatique Master Chronometer 8806, certifié par l’Institut fédéral suisse de métrologie (METAS).
Blancpain Villeret Grande Date Jour Rétrograde
Blancpain introduit cette année une nouvelle complication dans la collection Villeret : un jour de la semaine rétrograde. Présentée sur le modèle Grande Date Jour Rétrograde (40 mm), cette indication est ici complétée par une grande date à double guichet. Disponible en or rouge avec cadran opalin argenté ou acier sur cadran blanc.
Cette nouveauté de la collection Villeret vient d’être dévoilée à l’occasion de la dernière Foire de Bâle. Pas de doute, dès le premier coup d’œil, il s’agit bel et bien d’une montre de ville qui caractérise le style très caractéristique de Blancpain.
Cette montre est disponible en deux versions : soit en or rouge avec cadran opalin argenté, soit en acier avec cadran blanc. Dans les deux cas, le boitier fait 40 mm de diamètre. A noter qu’il ne possède aucun poussoir de correction : en effet, le système de correcteur sous corne breveté par Blancpain permet de régler l’indication du jour de la semaine par simple pression du doigt, l’ajustement de la date s’effectuant quant à lui, par l’intermédiaire de la couronne.
On retrouve bien évidemment les fameuses aiguilles en forme de feuilles de sauge évidées. Afin de garantir l’équilibre visuel, Blancpain a choisi de positionner le jour de la semaine sur un arc de cercle entre 7 h et 9 h et les guichets destinés à l’affichage de la grande date entre 5 h et 6 h.
Tandis que la date change instantanément à minuit, l’aiguille rétrograde en acier bleui dédiée aux jours effectue un saut en arrière à la fin de la semaine pour retrouver la position du lundi. Une longue aiguille des secondes arborant les initiales de Blancpain sur le contrepoids complète ces indications.
Le nouveau mouvement 6950GJ qui anime ce mécanisme de calendrier est réalisé sur la base du calibre 1150, dont les deux barillets offrent une très confortable réserve de marche de 72 h. L’utilisation d’un fond saphir permet d’admirer le décor en côtes de Genève du mouvement et le motif nid d’abeille de sa masse oscillante en or. Les deux versions sont disponibles sur un bracelet en cuir ou en métal (pas inintéressante dans la version acier).
Avant d’entrer dans le détail de cette pièce, l’un des best-sellers de chez Claude Meylan, rappelons que le squelettage d’un calibre consiste à ôter le maximum de matière dans un mouvement afin de le rendre léger, aérien et le plus « transparent » possible. Tout ceci, bien évidemment, sans nuire à la résistance ni à l’efficacité des composants ! Un exercice de style délicat mené par des horlogers et des artisans chevronnés.
Cette Tortue de Joux est une montre d’amateur. Une montre doublement « horlogère » ; tout d’abord de par la forme tonneau de sa boite en acier (40 mm / étanche 30 mètres) qui s’inspire de la grande tradition horlogère et ensuite, de par le squelettage de son calibre deux aiguilles à remontage manuel (42h de réserve de marche) habillé de rhodium qui s’intègre parfaitement au boitier.
Les mains expertes des artisans de la Vallée de Joux ont façonné un décor qui évoque les décorations si souvent reproduites sur les volets des fermes de la région. Le fait est que le travail de squelettage a été poussé à l’extrême, ce qui rend la pièce particulièrement légère et aérienne. Un aspect encore renforcé par la présence d’un fond de boite en verre saphir qui conforte cette impression de transparence.
Le tout se porte sur un bracelet en cuir façon « croco » (un peu dommage) sur boucle ardillon. Compter dans les 5.000 euros env.
Depuis 1965, Seiko ne cesse de repousser les limites des montres de plongée. En 2018, cette histoire glorieuse est célébrée par deux nouvelles créations Prospex. En 1968, la marque a annoncé la première montre de plongée hi-beat du Japon. Dix ans plus tard, la première montre de plongée en saturation à quartz voyait le jour. Aujourd’hui, ces deux montres devenues de véritables références sont recréées dans des modèles hommages qui mettent les technologies de haute horlogerie Seiko au service de tous les plongeurs, professionnels et amateurs.
Mon article analysant les médias sociaux pendant le SIHH s'étant avéré populaire, j'ai décidé de renouveler l’opération pour Baselworld 2018 et en ai tiré des résultats intéressants, notamment en comparaison avec ceux du SIHH.
Alexeï Leonov, né en 1934, fut le premier homme au monde à avoir effectué une sortie libre dans l’espace (« spacewalk » ), le 18 mars 1965. Il est aussi à l’origine de l’un des gestes les plus symboliques de l’histoire, une poignée de mains interstellaire avec son confrère de la NASA, en 1975, en pleine guerre froide. Son nom n’est pas le plus connu, parfois éclipsé par ceux associés à la conquête de la Lune, dont il fut pourtant l’indispensable précurseur.
Ami de la marque, le jeune Brésilien s'est rendu à la manufacture s'initier au savoir-faire des horlogers de Jaeger-LeCoultre. Ami de la marque, le jeune Brésilien...
La Maison d’horlogerie suisse Baume & Mercier a toujours été dotée d’une forte charge affective et festive, tout en exprimant l’excellence horlogère dans toutes ses créations. Depuis 1830, c’est une saga familiale où la passion du détail et la quête continue de l’excellence scellent un engagement : celui de perpétuer son héritage tout en étant un partenaire incontournable des moments privilégiés. Pour Baume & Mercier, le temps est bien plus...
En savoir plus >Toutes les actualités >Contacter la marque >Toutes les montres >Rubrique réalisée en collaboration avec le magasin de ventes en ligne de montres d'occasion www.perpetualis.fr
Lancées en 2002, les Journées Européennes des Métiers d’Art (JEMA) sont la plus grande manifestation internationale dédiée à ce secteur remarquable par sa diversité et sa vitalité. En tout, ce sont 281 métiers répartis en 16 domaines de compétences qui composent cet univers situé à la croisée de la culture, de l’économie, du patrimoine et de la création.
Cette année à nouveau, ce grand rendez-vous culturel, économique et touristique sera proposé en France mais aussi dans dix-huit autres pays européens. Cette année encore, la Maison Bucherer va célébrer pour la deuxième année consécutive, les métiers d’art en mettant en avant les savoir-faire traditionnels dédiés plus spécifiquement à l’horlogerie.
Atelier-Conférence sur la technique horlogère animé par un expert horloger
Les métiers d'art sont affaires de passion, de talent, et d’hommes. A ce titre, Bucherer invite le visiteur à voyager au coeur de l'infiniment petit lors d'une parenthèse dans le monde de l'horlogerie de prestige. Partagez un moment exclusif et inoubliable lors d’une immersion au coeur de la montre et son mouvement mécanique manuel.
Sessions de deux heures par groupe de 12 personnes :
Samedi 7 avril de 10h30 à 12h30
Dimanche 8 avril de 10h30 à 12h30
Sur rendez-vous uniquement auprès de Madame Emma Thyrault Morvan
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Initiation à l’univers des diamants
Une véritable mise en lumière des différentes étapes lors du travail du diamant, de son état brut jusqu'à la pierre taillée par un expert Bucherer. Découvrez à la loupe, les 4 C, l'ensemble des caractéristiques de cette pierre unique : Cut (la qualité de la taille), Clarity (la pureté), Colour (la couleur), Carat (le poids). Vous pourrez également admirer des pièces exclusives de la marque Bucherer Fine Jewellery.
Sessions d’une heure par groupe de 10 personnes :
Samedi 7 avril
De 10h30 à 11h30
De 14h à 15h
Dimanche 8 avril
De 14h à 15h
De 15h30 à 16h30
De 17h à 18h
Sur rendez-vous uniquement auprès de
Madame Emma Thyrault Morvan
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Découvertes horlogères chez Omega
Venez découvrir l’histoire de la Maison Omega à travers celle de ses mécanismes. Vous aurez le privilège de démonter et remonter un mouvement mécanique manuel guidé par leur expert horloger.
Boutique OMEGA
35, boulevard des Capucines, 75002 Paris
Samedi 7 avril
De 10h à 11h30
De 15h30 à 17h
De 17h à 18h30
Dimanche 8 avril
De 14h à 15h30
Sessions pour une personne sur rendez-vous uniquement auprès de
Madame Emma Thyrault Morvan
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Maison Marcel 1907 revisite les codes du luxe féminin
Venez découvrir une collection exceptionnelle de boutons de Manchette de haute joaillerie, destinée à une clientèle féminine. Maison Marcel 1907 allie savoir-faire ancestral d’orfèvrerie et lignes intemporelles, dans un style raffiné. Un artisan joaillier vous fera découvrir les techniques de fabrication et de finition d'un bouton de manchette.
Samedi 7 avril & Dimanche 8 avril
Accès libre de 09h30 à 19h00
Le fait que le Musée Breguet ait acquis ce chrono montre bien son importance historique et sa rareté… Estimé entre 15 et 20.000 euros, ce type XX a finalement été adjugé pour la somme de 57.960 euros frais compris. D’ailleurs, l’ensemble de cette vente Pescheteau-Badin s’est plutôt bien déroulée puisque 90% des lots ont été adjugés pour la somme de 430.290 euros. Sachant que ce chrono Type XX était la pièce « phare » de cette session.
L’histoire du chronographe bracelet Breguet « Type 20 » est restée célèbre de par son utilisation dans les forces aériennes de l’armée de l’air ou l’aéronavale française à partir de 1954 et ce, jusqu’en 1970.
A ce jour cependant, nous ne connaissons que très peu d’exemplaires liés au sport automobile tel que cette montre qui commémore la victoire de l’équipe Alexandre, Coltelloni et Desrosiers, unique dans les annales du sport automobile après leur triomphe historique au Rallye de Monte-Carlo en 1959 sur une version prototype de la fameuse Citroën DS, la ID 19.
Une fois encore, le génie français était à l’honneur entre les maisons Citroën et Breguet, deux noms qui ont tant apportés à la France dans les années après-guerre, l’un avec l’horlogerie mais aussi l’aviation dont les fameux avions Breguet, et l’autre au firmament de l’automobile, surtout lorsque l’on se souvient du succès de la fameuse DS qui conserve son aura dans le cœur de nos compatriotes, qui la considèrent comme une icône du patrimoine automobile.
Cette montre en acier dotée d’un boitier de 39 mm a été conservée par les descendants du propriétaire d’origine M. Alexandre, dont les livres des archives mentionnent que cette montre, avec son inscription spéciale, était encore en sa possession en 1973. Elle a conservé tous ses attributs d’origines avec une décoloration naturelle du cadran qui lui donne cet aspect brun ou dit « tropical », aujourd’hui recherché par les collectionneurs.
Ce chrono tricompax (no 3065 / cal. 225) est un « rare témoignage de l’époque » alliant la technique et le style de la maison Breguet pour l’une des montres dites « automobilia » produites à l’époque par cet horloger illustre. Il est donc intéressant de noter que Breguet peut en effet revendiquer des liens étroits avec le monde du sport automobile (ce que l’on sait peu) au travers de la fiabilité de ses fameux chronographes « Type 20 ».
A ce jour, nous ne connaissons que très peu de pièces faites par Breguet pour le sport automobile, la seule autre connue sur le marché modèle « Type XX » a été vendue le 5 mai 1960 pour commémorer la victoire de Jacky Brabham au championnat du monde de Formule 1 en 1959, portant l’inscription au dos “Esso J.B. Champion du Monde 1959”.
En savoir plus…
On ne présente plus la Monaco de chez TAG Heuer. Depuis cinquante ans, ce chrono carré fait partie des montres mythiques. Pourtant, à l’origine, en 1969, cette montre était un « clou »… Comprendre dans le jargon horloger helvétique : un échec commercial ! C’est d’ailleurs pour cela que Jack Heuer la proposa aux producteurs du film Le Mans, histoire d’essayer de relancer le modèle.
Et bien lui en a pris ! En effet, c’est dans ce film que Steve McQueen -qui ne jurait que par sa Rolex Submariner sans date- porta une Monaco pour les besoins de ce long-métrage… Comme le souligne Jack Heuer, « la place privilégiée de la Monaco sur le poignet de l’acteur contribua à créer sa légende, mais c’est le design si particulier du chronographe et le côté résolument novateur du boîtier – aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur – qui la fit sortir du lot ».
Depuis, cette montre a été déclinée dans de très nombreuses versions, mais la plus mythique reste celle équipée du Calibre 11 (automatique / 40 h de réserve de marche) avec ses poussoirs situés à 2 et 4 heures, sa couronne à 9 heures, ses compteurs argentés à 9 et 3 heures et son guichet date à 6 heures.
Première montre entièrement en carbone, la plus fine de toutes les répétition minutes sonne aussi très bien, et c'est une surprise. Car en matière de répétition minutes, il faut savoir que la finesse n'est pas un atout. Il faut du volume pour bien sonner et le mouvement à sonnerie le plus plat au monde que produit Bulgari n'avait jusqu'ici pas vraiment convaincu par son intensité. La parade vient d'être trouvée et elle se nomme carbone. La Bulgari Octo Finissimo Minute Repeater Carbon est donc la première montre entièrement en carbone, y compris son cadran et son bracelet. Dans la main, l'objet est d'une légèreté stupéfiante : 47 grammes. La texture chamarrée du carbone forgé lui donne un look peau de requin, fluctuant tout à fait unique. L'objectif esthétique est rempli, elle ne ressemble à rien d'autre, même plus entièrement à une Octo tant la matière s'impose au regard. Au poignet, elle est fine et on s'y attendait avec 6,8 mm d'épaisseur. Enfin, à l'oreille, c’est la bonne surprise. On entend étonnamment bien sonner cette petite chose. C'est contre-intuitif, mais le carbone est une excellente caisse de résonance, et pas seulement à cause de sa légèreté. Les premières impressions (qui demandent toujours à être confirmées au calme avec une montre à sonnerie) ne montrent pas signe de distorsion, de grésillement, de froideur. Le son est assez long et plein. Une réussite sur toute la ligne, y compris un tarif qui aurait pu être 50 % plus élevé, en l'absence de concurrence directe.
La collection Lvcea se dote pour la première fois de l’emblématique bracelet Tubogas, qui fait écho à la tradition joaillière de Bulgari. D’un confort incomparable au poignet qui permet un porter au quotidien, ces cinq nouveaux modèles Lvcea Tubogas apportent une touche de modernité à l’univers de la collection. Les maillons du bracelet Tubogas adoptent une symétrie qui complète la rondeur des montres Lvcea.
Pin-up aux pulpeuses lèvres rouges, chronographes de combat aux couleurs fluos, pièces neo-vintage aux tons pastels : cette année, Graham... Pin-up aux pulpeuses lèvres rouges,...
En 1897, l’Observatoire de Besançon a apposé pour la première fois le poinçon « Tête de Vipère » sur un chronomètre. Gage de haute qualité métrologique d’une montre, cet emblème est signe d’excellence et de précision inégalable. Abandonné dans les années 70, puis relancé en 2006, le poinçon « Tête de Vipère » a depuis été apposé sur seulement 500 pièces. Afin d’obtenir ce certificat d’excellence, chaque montre entièrement assemblée est soumise à un protocole de 16 jours de test, dans cinq positions et à trois températures différentes.
