Anonimo a présenté cette nouvelle ligne Epurato, « plus habillée » que ses modèles précédents, à l’occasion de la dernière Foire de Bâle.  En effet, jusqu’à maintenant, la marque commercialisait principalement des chronos et des plongeuses avec une spécialité, le bronze. Des produits bien finis aux designs retravaillés de belle manière, de surcroit, très bien placés en termes de prix.
 
Depuis cette année, Anonimo élargit son catalogue avec cette Epurato. Cette troisième ligne va devenir « la » montre de ville de la marque suisse d'origine florentine. Toutefois, l’horloger a su parfaitement conserver l’esprit de ses modèles et leurs spécificités qui font qu’on identifie une Anonimo du premier coup : notamment un boitier coussin et des cadrans arborant la traditionnelle lecture en triangle.
 
L’ergonomie de la nouvelle boîte associe désormais une épaisseur d’à peine 11 mm à un diamètre de 42 mm. Dans cette version Safari, le boitier est en DLC noir mat, certainement pour éviter tout reflet indésirable dans la jungle urbaine.

A 6h se déploie la grande seconde dans un cercle nettement plus grand que celui des heures-minutes, donnant vie à la figure du « 8 », devenue la signature esthétique de la pièce et, plus encore, de Jaquet Droz. Ça tombe bien puisque par ailleurs, c’est un chiffre que les Chinois adorent.
 
Ce modèle se pare également d’un cadran en émail grand feu, l’une des caractéristiques de la maison. Rappelons que cette technique séculaire reste une gageure à réaliser. De fait, fort peu de maisons peuvent s’en prévaloir.
 
Non seulement Jaquet Droz en fait partie mais elle est probablement l’une des seules à obtenir cette teinte ivoire parfaitement uniforme. Sa composition permet à la Grande Seconde « Hommage » d’être inaltérable, à l’épreuve du temps.

La Fondation du GPHG vient donc de dévoiler la composition de son jury 2018 et d’ouvrir les inscriptions pour participer à la 18e édition du Prix.
 
Au total, un jury réunissant l’expertise d’une trentaine de membres aux compétences et nationalités variées, aura la délicate mission de distinguer, en deux tours de vote et 17 prix, le savoir-faire et l’excellence des créations horlogères contemporaines présentées en compétition officielle dans le cadre de cette 18e édition.
 
La présélection sera annoncée le 1er septembre et le palmarès le 9 novembre prochain à l’occasion de la cérémonie de remise des prix, qui aura lieu au Théâtre du Léman à Genève.
 
Rappelons que lee GPHG est ouvert à toutes les marques horlogères, suisses et internationales, et admet au concours cette année les montres commercialisées après mars 2017 et avant la fin novembre 2018.
 
Déjà bien « chargé en prix », le GPHG accueille tout de même deux nouveaux prix au palmarès 2018. Avec le Prix Challenge, réservé aux montres dont le prix public est inférieur à 4'000 CHF, le GPHG souhaite mettre en avant le défi lié à la réalisation de telles créations et récompenser l’excellence à tous les prix. Nouveau venu également, le Prix de l’Audace, qui permettra au jury de couronner la liberté créative d’une approche horlogère audacieuse et décalée.
 
Créé en 2001 et chapeauté depuis 2011 par une Fondation, le GPHG a pour mission de mettre en valeur et de récompenser chaque année les créations les plus remarquables, en vue de contribuer au rayonnement de l'art horloger dans le monde.
 
Précisons que depuis le début de l’année, la Fondation du Grand Prix d’Horlogerie de Genève est dirigée par Raymond Loretan. Il est entré en fonction en janvier 2018 et souhaite poursuivre le développement de cette institution au plan national et international et lui insuffler un nouvel élan.

En tant que Chronométreur Officiel de Paris Longchamp, Longines a chronométré toutes les courses de la journée ainsi que de prêter son nom à l’une d’elles : le Prix Allez France Longines lors duquel Kitesurf monté par Mickaël Barzalona s’est distingué en franchissant la ligne d’arrivée le premier.
 
Lors du Prix Ganay, la course phare de la journée, Longines a chronométré la victoire de Cracksman et Lanfranco Dettori. Les performances de Kitesurf et Cracksman ont été saluées par l’horloger suisse qui a offert l’un de ses garde-temps à leurs propriétaires, entraîneurs et jockeys respectifs.
 
Dans le cadre du partenariat qui lie Longines à France Galop, la marque au sablier ailé est le Chronométreur Officiel des hippodromes de Chantilly, Deauville et de Paris Longchamp ainsi que des journées de courses qui y sont organisées. Elle est également le Partenaire Titre du Prix de Diane Longines et le Partenaire du Qatar Racing and Equestrian Club.
 
De plus, durant le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe, la marque horlogère suisse est ravie de prêter son nom à deux courses de Groupe 1, le Prix de l’Abbaye de Longchamp Longines et le Prix de l’Opéra Longines.

Les Japonais adorent la marque Porter Yoshida Kaban communément appelée Porter qui depuis 1935, propose des produits discrets, de qualité et au design intemporel ; au catalogue, des sacs, des bagages et de la petite maroquinerie « made in Japan » souvent en nylon noir, bleu ou kaki. Mais pas que.
 
Il vous suffit d’un trajet dans le métro de Tokyo pour croiser à coup sûr, des hommes en costume-cravate (les fameux « salary-men ») et serviette ou sac-cabas de chez Porter ! Cette marque d’un excellent rapport qualité-prix est en effet une véritable institution au Japon.
 
Depuis des années, elle multiplie les collaborations, souvent avec d’autres marques ou magasins japonais comme Beam, concept-store de renommée mondiale ou encore, Jack Road, boutique spécialisée dans les montres d’occasion avec qui elle a développé, une trousse à montres. Ce ne sont ici que quelques exemples bien évidemment.  

Ce principe esthétique baptisé « panda » (très en vogue actuellement) puise ses origines dans les garde-temps des années 60 dédiés au sport automobile. En effet, le contraste clair/sombre garantit une meilleure visibilité et souligne les indications fournies par la fonction chronographe.
 
La version chronographe est animée par le Calibre 5200 à remontage automatique, dont la masse oscillante en or 22 carats décorée d’une rose des vents est visible au travers d’un fond saphir. Équipé d’un double barillet, ce mouvement est pourvu d’une roue à colonnes assurant le lancement, l’arrêt et la remise à zéro de la fonction chronographe et dispose par ailleurs d’un embrayage vertical. Un dispositif technique qui empêche tout saut d’aiguille éventuel à l’instant du démarrage du chronographe.
 
Le concept d’interchangeabilité du bracelet initié il y a deux ans se retrouve bien sûr, sur les nouveaux modèles cadran noir. La montre joue ainsi la carte de la modularité et de la personnalisation en offrant la possibilité d’être portée sur un bracelet en métal dont les maillons dessinent des demi-croix de Malte (version décontractée), en cuir (version chic) ou bien en caoutchouc (version sport) et ce, sans l’aide du moindre outil...

Bólido reste une marque relativement confidentielle et c’est bien dommage, car elle offre une excellente combinaison associant design et swiss made pour un prix de 700 euros environ. Ce garde-temps a été dessiné par Simon Husslein, designer industriel de renom qui a déjà travaillé pour Nomos ou Ventura. Et cela se voit, d’ailleurs.
 
On retrouve dans cette collection, sa « patte » toujours empreinte de minimalisme. Mais au-delà de ce cadran au « visage » très épuré et particulièrement lisible, c’est incontestablement le boitier en acier de 42 mm évasé dans son épaisseur et sa couronne à midi qui font toute l’originalité de ce modèle.