Ce restaurant, élu meilleure table de la planète en 2016 d’après le classement établi par The World’s Best Restaurants, est une destination légendaire pour de nombreux gourmets, qui viennent du monde entier pour savourer la remarquable tradition gastronomique italienne revisitée de manière novatrice par le Chef Bottura selon un principe qui lui est cher : « la tradition en évolution ».
 
« Regarder le passé de manière critique et sans nostalgie. Pour innover, il faut prendre le meilleur du passé et le transposer dans le futur », explique le chef dans le film, tourné à divers endroits de la ville de Modène, notamment la Piazza Grande, le marché historique Albinelli et son propre restaurant.
 
La cuisine de Massimo Bottura applique les traditions culinaires de son pays à des produits de qualité supérieure provenant du « triangle d’or » de la gastronomie italienne, une région du Nord de la botte où se trouve justement Modène. Son évolution est le fruit d’un travail de recherche perpétuelle et d’une innovation permanente, ayant permis à l’Osteria Francescana de proposer à ses clients une expérience de cuisine créative unique et authentique.

En 1994, IWC lançait son premier « Fliegerchronograph » mécanique sous la référence 3706. Avec son cadran caractéristique à l’allure d’instrument de bord, ce garde-temps a rapidement conquis toute une communauté d’adeptes dans le monde entier et a largement contribué au succès des montres d’aviateur, chez IWC mais chez les autres marques également...
 
Aujourd’hui, ce classique totalement intemporel fait son grand retour : dans cette nouvelle version, le cadran de cette réf IW377724 s’inspire clairement du modèle original historique. Contrairement aux chronos de la collection actuelle, cette montre dispose d’une échelle graduée en quarts de seconde pour la mesure des temps courts.
 
Les aiguilles ont également évolué. En forme de losanges (très reconnaissables) dans les versions précédentes, elles sont désormais rectangles pour les heures (bout carré) et minutes (bout pointu) et de forme bâton pour les compteurs.

A Bâle, les stands Rolex et Tudor sont mitoyens. Normal, ces deux marques font partie d’une seule et même entité. Pour autant, au cours de ces dernières années, Tudor a toujours revendiqué son indépendance vis-à-vis de Rolex avec des modèles qui se voulaient différents de la fameuse « grande sœur ». Soit. C’était d’ailleurs une revendication parfaitement légitime. Après tout, Tudor devait et pouvait voler de ses propres ailes.
 
Baselworld 2018 : les choses, manifestement, ont changé. En entrant dans le hall 1, Rolex mettait en avant une nouvelle Pepsi en acier avec bracelet Jubilé. Et quelques mètres plus loin, Tudor présentait au même moment une Black Bay GMT évoquant une GMT Master vintage… Certes, la montre possède ses propres caractéristiques, mais globalement, elle fait tout de même penser à une Rolex !