Cela fait trois ou quatre ans déjà que les montres féminines rapetissent. Cela ne signifie en rien que les femmes n’aiment plus les grosses montres (« size matters », parait-il), non cela signifie simplement que nos compagnes peuvent changer de styles en changeant de garde-temps.
 
Un look sport-chic avec une Panerai, une Rolex, une Omega ou une Admiral ; et par ailleurs, un look plus chic et élégant avec une montre mini pour le soir ou les rendez-vous amoureux. Les deux tendances cohabitant parfaitement de nos jours.
 
C’est dans ce contexte qu’arrive cette nouvelle Bubble qui après avoir connu des extrêmes dans les grandes largeurs (42, 47 et 52 mm) se présente dans une version XS de 17 mm. Une version mini qui la rend toute mimi avec ses rondeurs là où il faut.  
 
« Par le passé, nous avions déjà proposé quelques rares collections de Mini Bubble, en 26 mm », explique Jérôme Biard, CEO. « Ce sont aujourd’hui des pièces très recherchées de nos collectionneurs. Avec ces nouvelles versions, nous voulions préserver cette dimension exclusive, avec uniquement des séries limitées qui perpétuent l’esprit collector des Mini Bubble, tout en renouvelant l’exercice créatif en osant descendre à seulement 17 mm ».
 
Ce modèle (à quartz) est disponible en acier avec verre saphir bombé et une couronne en forme de bulle cerclée d’un grip en caoutchouc. A noter aussi une version équipée d’une lunette sertie dont les pierres viennent s’accorder avec leur bracelet : topaze sur bracelet turquoise, rubis sur bracelet rouge et diamants sur bracelet brun. Ces trois versions de 17 mm haut de gamme ne seront produites qu’à 18 exemplaires chacune.

La Grande Seconde de chez Jaquet Droz est un grand classique. Cela fait des années que les amateurs d’horlogerie connaissent –et aiment- cette montre qui a d’ores et déjà été traitée en plusieurs versions. Mais celle de cette année est probablement la plus différente de toutes, voire, la plus disruptive comme on dit de nos jours…
 
En effet, elle associe –dans un exercice de style réussi- l’aspect traditionnel de l’horlogerie suisse (calibre mécanique avec grande seconde et réserve de marche et clous de Paris) à un design et une taille très contemporains avec son boitier en céramique noire brillante de 44 mm. L’ensemble est cohérent et séduisant pour ceux qui recherchent quelque chose de différent.
 
Côté technique, grâce à ses deux barillets, le mouvement automatique de la Grande Seconde lui assure une confortable réserve de marche de 68h. Cette dernière apparait sur le cadran par le biais d’un secteur semi-circulaire situé à 9h. De couleur or, il rappelle les trois aiguilles ici réalisées en or rouge 18 carats : heures et minutes à midi, grande seconde décentrée à 6h.
 
Finition emblématique de la Haute Horlogerie, le Clou de Paris que l’on retrouve sur le cadran est un type de guillochage composé de lignes creusées et entrecroisées qui forment de petites pyramides (ici frappées en creux). A noter pour ces versions, ces tons bleus nuit ou gris charbon créant un motif texturé sur lequel la lumière prendra un éclat toujours différent. Ces deux modèles sont accompagnés d’un bracelet en tissu rembordé main qui, lui aussi, reprend l’exacte couleur du cadran.
 
Ces deux séries très limitées (28 pièces chacune) sont authentifiées par un numéro individuel gravé sur le fond de leur boîtier.

La Khaki Field est « la » montre militaire américaine par excellence. Bien évidemment, pas dans cette configuration jour et date, mais ce modèle dans sa version « trois aiguilles », équipait à l’origine les G.I. durant la Seconde guerre mondiale.
 
A cette époque, ce garde-temps robuste et rustique était équipé d’un boitier en acier microbillé (pour éviter les reflets) d’un diamètre de 31 ou 34 mm. Il proposait un calibre à remontage manuel doté du fameux « Hack System » qui permettait l'arrêt du balancier et donc, la synchronisation de l'aiguille des secondes avant une opération militaire.

Ami de longue date de Hublot -on l’a notamment vu l’an passé lors des festivités organisées par Hublot dans le cadre de « Hublot Loves Art in Miami », Nicky Jam en devient désormais ambassadeur.
 
De son vrai nom Nick Rivera Caminero, le chanteur latino né aux Etats-Unis d'un père portoricain et d'une mère dominicaine. Après un passage à vide, il revient en force depuis quelques années. En 2015, le succès de son titre « El Perdon » dépasse largement les frontières de l’Amérique Latine pour venir s’imposer en Europe, en prenant la première place des charts en Suisse, Espagne, Italie, aux Pays-Bas et en France, ce qui lui a valu une récompense lors de la cérémonie des Latin Grammy's Awards 2015. Rebelotte cette année grâce au single « X (Equis) », dont les notes entêtantes se posent déjà en hit de l’été, son vidéo clip atteignant bientôt le milliard de vues sur Youtube.
 
Nicky Jam s’inscrit également dans la mouvance Hublot Loves Football, puisqu’il n’est autre que l’auteur de « Live it Up », l’hymne officiel de la Coupe du Monde de la FIFA 2018TM en Russie. Une chanson qu’il interprète en compagnie de la star américaine Will Smith et de la chanteuse kosovare Era Istrefi.
 
Nicky Jam devient ainsi le premier ambassadeur de la marque représentant l’industrie du disque latino-américaine. Hublot Loves Music !