Une nouvelle aventure italienne prend forme à travers ce partenariat entre Panerai et Luna Rossa, placé sous le signe de la mer et de l’innovation technique. Ce challenger officiel qui est devenu il y a quelques mois le premier à défier le tenant du titre Team New Zealand pour obtenir le droit de participer à la 36e édition l’America’s Cup. 

Pour une marque qui aime mettre en avant son histoire et sa tradition dans l’art du squelettage, la création d’une montre avec un boîtier en saphir n’était qu’une question de temps. La surprise est qu’elle a porté son choix sur un modèle de très grande taille, la Dual Time Resonance et ses 59 mm. Il est notoire que les boîtiers en verre saphir sont difficiles à fabriquer. Il faut utiliser des outils à pointe de diamant pour travailler le matériau (seuls la moissanite et le diamant sont plus durs que le verre saphir sur l’échelle de Mohs), mais même ainsi, la chaleur générée par le frottement entre les deux matériaux peut provoquer des cassures. Les quelques boîtiers qui sortent intacts du processus d’usinage doivent ensuite reposer quelques pour permettre à la chaleur de se dissiper avant que la suite de la fabrication puisse s’effectuer. Le polissage du saphir usiné opaque qui va conférer sa parfaite transparence au produit fini prend également plusieurs jours, avec toujours ce risque de cassure…

Hysek est l’une des dernières manufactures 100% indépendante. Elle possède donc une liberté technique et stylistique totale. Sa nouvelle IO Double Orbitale en est le manifeste. C’est une authentique « création » horlogère, proposant un double affichage orbital totalement nouveau. Il concerne les minutes et les secondes.

Au cours du SIHH 2019, IWC a présenté toute une série de nouvelles montres de pilotes. Comme attendu, ces pièces évoquent le grand air, portent des noms d’avions de combat légendaires (le Spitfire), ou nous renvoient à nos rêves d’enfants, aux BD de Buck Danny ou aux héros casqués, engagés dans de féroces dog fights [ndlr : batailles violentes] aux commandes de leurs jets. 

Avec la présentation en 2009 de la Zeitwerk, A. Lange & Söhne inaugura le début d’une nouvelle ère pour la mesure du temps. L’allure et le concept innovant de la première montre de poignet mécanique avec affichage digital par chiffres sautants des heures et des minutes ont été récompensés à plusieurs reprises. En une fraction de seconde, ce mécanisme fait avancer les disques des chiffres. Au passage de l’heure, les trois disques avancent au même moment. Les forces libérées et maîtrisées à cet instant font de la Zeitwerk une véritable « machine à mesurer le temps ». 

En ce début d’année 2019, Bulgari nous rappelle que la collection Octo ne se résume pas uniquement aux pièces ultra-plates et ultra-compliquées. En ce qui concerne les nouveaux modèles de la collection, on note un retour au noir avec deux montres en acier traité DLC arborant des touches d’or rose.

Quels ont été les faits marquants pour Bulgari en 2018 ?
Nous avons connu une nouvelle année de croissance et d’augmentation de nos parts de marché, si l’on compare nos chiffres avec le total des exportations de l’industrie horlogère suisse. J’en suis extrêmement satisfait, car nos performances sont supérieures à celles de l’industrie depuis maintenant quatre ans, depuis que nous avons lancé la collection Lvcea en 2014. Cette dernière est devenue l’un de nos produits phares aux côtés des collections Octo et Serpenti au succès retentissant. Elles représentent désormais la majeure partie de l’activité horlogère de Bulgari. Nous avons connu une croissance constante en 2018, grâce aux modèles Lvcea Tubogas et Lvcea Squelette que nous avons présentés à Baselworld. La collection Serpenti a également enregistré une croissance continue, grâce aux modèles en céramique et Tubogas. Avec la nouvelle première mondiale présentée l’an dernier, la collection Octo a aussi connu une forte progression. De plus, nous avons constaté une popularité grandissante pour les collections de montres en Asie, ainsi qu’une progression record en Chine.

Czapek entame la nouvelle année à sa nouvelle adresse de la rue de la Corraterie 18, au centre de Genève, la ville où François Czapek ouvrit son magasin, quai des Bergues. Les nouveaux locaux abritent désormais le siège de la société et un espace où les collectionneurs pourront découvrir la marque et ses montres. Ce déménagement vient consolider les trois années d’activité au cours desquelles Czapek & Cie a développé trois mouvements en interne et remporté le prestigieux Prix du Public du Grand Prix d’Horlogerie de Genève.

Lorsqu’on est indépendant, il faut parvenir à sortir du lot sans avoir les moyens des grands groupes. Aussi, en cette année horlogère qui verra la Lune briller au-dessus de grand nombre de créations, 50 ans d’Apollo 11 obligent, Louis Moinet présente non pas une mais deux pièces : « Moon » et « Mars ». Et avec des angles d’attaque...qui n’ont rien à voir avec la conquête spatiale !

Pour la première fois, un horloger sertit sa montre de la brillance turquoise d’une cupro-elbaïte. Une pierre très rare dont on mesure toute l’exclusivité lorsqu’on sait qu’il y a en moyenne un Tourmaline Paraíba minée pour 10'000 diamants. 

Le bruit courait depuis un certain temps mais les secousses tectoniques qui ont animé la marque ces derniers mois avaient fini par faire oublier les travaux en cours. C’est finalement chose faite : après Nivarox et son spiral qui occupe plus de 95% des montres suisses, après le silicium proposé par Sigatec, voici venu le temps du spiral en carbone développé par l’Institut TAG Heuer. Derrière cette dénomination, Institut TAG Heuer, se cache Guy Sémon, l’homme fort de la R&D TAG Heuer, résistant au départ de Jean-Claude Biver, à l’arrivée de son remplaçant Stéphane Bianchi, à celle d’un nouveau designer transfuge de Chopard puis (furtivement) Breitling, Guy Bove, pour ne citer que quelques mouvements. 

En 2016, la Polo Piaget adoptait une nouvelle allure qui rénovait son design conçu pour le nouveau millénaire. La finesse des proportions était conservée, mais dans un boîtier agrandi et une lunette qui imbriquait une forme ovale dans une forme ronde pour mettre à l’honneur la signature esthétique de Piaget. Les aiguilles dauphines classiques à facettes se faisaient plus conviviales, échangeant leurs angles aigus pour des courbes plus douces. Sans qu’elle soit atténuée, l’audace du cadran et des godrons du boîtier migrait vers un cadran guilloché à la texture subtile. 

Seul Jacob & Co. pouvait avoir l’audace de présenter l’une des complications horlogères les plus sophistiquées dans un boîtier transparent qui montre, entre autres, un astronaute flottant au beau milieu. La collection Astronomia, fruit de quatre années de travail combinant l’imagination de Jacob Arabo au talent du maître horloger Luca Soprano, a toujours été claire – au sens propre comme au figuré - sur la place de l'Homme dans un univers indissociablement lié au temps, ce qui est la raison même pour laquelle nous avons des montres.

La complication GMT a trouvé sa place dans la collection Parmigiani Fleurier grâce à l’inspiration d’une pièce restaurée. En effet, une montre de poche qui comporte deux mouvements au sein d’un même boîtier, chacun responsable d’un fuseau horaire, est confiée au soin des ateliers de restauration de Parmigiani Fleurier. Michel Parmigiani construit un seul calibre qui gouverne deux fuseaux horaires, précis chacun à la minute près. En 2010, lorsque Parmigiani Fleurier présente la Tonda Hémisphères, c’est une première mondiale. En 2017, la marque étend ce mouvement exceptionnel à la Collection Toric, son modèle fondateur, pour ajouter la dimension du voyage à son esthétique élégante et intemporelle.

À première vue, l’Aikon Mercury a tout d’une montre traditionnelle, avec ses aiguilles centrales des heures et des minutes et sa petite seconde à six heures. Il suffit de l’incliner légèrement pour que la tension qui anime les aiguilles centrales se relâche subitement : elles pendent alors librement, comme si elles en oubliaient tout à coup leur vocation chronométrique. Mais dès qu’on la remet à la verticale, les aiguilles de l’Aikon Mercury retrouvent leur place initiale et affichent, comme si de rien n’était, l’heure exacte. 

Très attendue, la soirée horlogère avait cette année une saveur particulière à double titre. D’une part, WorldTempus y fêtait son 18 ans anniversaire, d’autre part c’était la dernière fois que le magazine GMT et WorldTempus conviaient toute la branche horlogère en janvier, dans la mesure où le SIHH se tiendra en avril dès 2020. Initiateur de l’événement, Brice Lechevalier a tenu à remercier non seulement les invités, mais également les sponsors de la soirée : Asia Tatler, représenté par Sébastien Lamunière, Watch Your Time, représenté par Eric Dumatin, Lambert Fils & Filles, représentée par toute la famille, ainsi que le sponsor principal JD.com, représenté par Belinda Chen. Pendant son court discours, il a aussi remercié le travail réalisé par toute l’équipe WorldTempus, évoquant l’excellente forme de l’influenceur digital de l’horlogerie de luxe au passage de ce cap symbolique, qui a bouclé 2018 sur une fréquentation record : son audience comptait en effet 3,2 millions de visiteurs uniques, qui ont consulté 14,5 millions de pages vues avec une durée moyenne par visite de 3,2mn.

Inspiration astronomique

Ses nouvelles variations présentées au SIHH 2019 répondent au nom d’Oeuvres d’or. Elles complètent la gamme existante, qui s’incarnait principalement par une version or gris (FB 1.1) complétée d’une version or rose (FB 1.2). Techniquement, les deux nouvelles « œuvres d’or » ne diffèrent pas de leurs aînées : même mouvement, mêmes matériaux. Ce sont leurs finitions qui font leur singularité – des finitions 100% faites main qui trouvent leur inspiration au cœur du patrimoine Ferdinand Berthoud. Elles sont directement inspirées d’une pièce conçue par Ferdinand Berthoud, la Montre de poche astronomique N° 3, assemblée et réglée en 1806 à Paris par son élève Jean-Martin. Elle se trouve aujourd’hui dans la collection du L.U.CEUM à Fleurier.

Après avoir présenté ses collections manufactures masculines les années précédentes, Schwarz Etienne s’est lancé le défi de proposer sa première pièce femme, dessinée « par une femme, pour une femme ». 

Les gagnants seront contactés personnellement par e-mail. En cas de non-réponse de leur part dans un délai de 7 jours, WorldTempus procédera à un nouveau tirage au sort pour déterminer un autre gagnant.