Lors de cet événement, Zineb El Briouil s’est distinguée sur Beaupreau lors du Prix Longines Future Racing Stars, ouvert aux jeunes jockeys provenant des écoles du monde entier, avec à la clé une bourse d’étude. La jockey amatrice Alice Bertiaux et sa monture Ducale di Maremma ont de leur côté pris la première place du Prix de La Reine Marie-Amélie Longines, disputé par les cavalières de la FEGENTRI (Fédération Internationale des Gentlemen-Riders et des Cavalières). Longines a récompensé les champions de ces courses d’une montre.
 
Cette journée de courses, teintée de l’élégance qui lui est propre, a également été l’occasion pour les spectateurs de découvrir la Montre Officielle de l’événement, un modèle de la collection Record. Rappelons que tous les modèles Record ont obtenu le titre de « chronomètre » délivré par le COSC (Contrôle officiel suisse des chronomètres). Une montre Record a notamment été décernée par Zhao Liying à la plus élégante des spectatrices, Joana Contremoulin, lauréate du Prix « Mademoiselle Diane par Longines ».
 
Par ailleurs, Longines soutient en tant que mécène principal, l’exposition « Peindre les courses » qui a lieu au Domaine de Chantilly du 16 juin au 14 octobre 2018. Cette exposition permet au public de découvrir des œuvres exceptionnelles datant de la fin du XVIIIe siècle à la fin du XIXe siècle, autour du thème du cheval de courses.

S’inspirant de l’univers de l’aviation vintage, Hamilton revient en force avec cette nouvelle Khaki Pilot Auto Date disponible en trois versions de 42 mm étanches à 100 mètres : soit boitier acier (bracelet cuir ou acier), soit boitier acier PVD brun (avec une nette préférence pour cette dernière nettement plus stylée que les deux autres).  
 
Ces modèles sont équipés de mouvements automatiques dotés d’une belle réserve de marche de 80h ; à noter que l’on retrouve le même calibre de base dans différents modèles des marques du Swatch Group.

Conçu à l’origine par Hermès pour renforcer les colliers des chiens de chasse, le clou pyramidal est proposé en ceintures dès les années 1930. Il inspire ensuite le fameux bracelet Collier de chien (une icône de la maison, victime de son succès puisque souvent en rupture de stock), avant de devenir en 1993 la montre à secret Médor, qui dissimule les heures et les minutes sous son cabochon et les dévoile sur simple pression de la couronne.
 
Cette année, la montre Médor Rock Très Petit Modèle (16 x 16 mm), présente trois nouvelles versions assorties d’un bracelet triple tour (le double tour ayant été inventé pour Hermès par Martin Margiela, rappelons-le). Poli miroir, laqué ou laqué et discrètement serti en croix, le clou pyramidal, avec ses quatre facettes bombées, forme un cabochon qui abrite un cadran argenté ou laqué rythmé par de fines aiguilles facettées.

Le second jour, l’étape intitulée « Navigation et Châteaux » a mis à rude épreuve l’acuité des co-pilotes dans le pays berrichon de Georges Sand. Avec une invitée surprise : la pluie ! Mais pas une petite bruine matinale. Des trombes. Ce qui pour ces véhicules historiques est un sujet de préoccupation : au-delà du lent passage de balais d’essuie-glace à l’efficacité contestable, les voitures ont eu maille à partir avec de véritables inondations, dont certaines ont provoqué quelques pannes. 
 
Mais grâce à la rapidité de l’assistance et la diligence de l’organisation, la plupart d’entre elles ont pu repartir et rallier la ville étape de Vichy. Le soir, au cocktail, si les traits sont tirés, la bonne humeur reste de mise, chacune ayant à cœur de raconter ses péripéties de la journée.
 
Pour les concurrentes, l’étape de la veille a été l’occasion de prendre le pouls du rallye. D’en intégrer sa cadence et ses imprévues. Dès lors, la journée suivante, visant à rallier Toulouse le long d’un parcours de 482km fût perçu comme une étape, certes décisive, mais pas insurmontable. 
 
La météo de la veille ne s’est pas révélée guerre plus clémente ce jour-là, allant de mal en pis au fur et à mesure que la ville rose s’annonçait. A telle enseigne que de véritables éboulements lors de la traversée de l’Aubrac ont contraints les organisateurs -par mesure de sécurité- à annuler certaines épreuves de régularité.
 
Pour quelques équipages, ces torrents d’eau ont transformé les autos en piscine et ont eu raison de leur mécanique. Au final, la journée qui s’annonçait drue fut dantesque. Au petit matin du 4e jour, comme pour fêter le passage du rallye en terre Espagnole, le soleil avait décidé de se montrer sous ses plus beaux atours. 
 
Pour les nombreux cabriolets engagés, c’est l’occasion de ranger les capotes et de mettre de la crème solaire. Ascension de deux cols de légende, le Soulor et l’Aubisque, passage par celui du Pourtalet, cette journée a fait la part belle à la conduite. De lacets en épingles, les princesses ont pu faire parler leurs mécaniques lors des nombreuses relances et profiter d’un paysage à couper le souffle. 
 
A l’arrivée à Formigal, avant dernière étape du rallye, les 180 princesses tiennent une forme olympique, regonflée par une journée bénie des dieux. Là aussi réside sans doute, tout le sel de l’épreuve : aucune journée ne ressemblant à celle de la veille, chacune forge dans les esprits des concurrentes, les souvenirs les plus prégnants.

Les montres Garmin font partie des rares à être « acceptées » par les amateurs d’horlogerie. Leurs designs, mais également leurs fonctionnalités et la qualité de fabrication de ces garde-temps ont fait que cette marque est devenue, en quelque sorte, « légitime » chez les amateurs de « mécanique ».
 
Dans ce contexte, rien d’étonnant à ce que Jean Lassaussois se soit également laissé séduire par ces montres connectées. La cible : une clientèle de passionnés de sports chics et connectés qui, en complément de leur montre mécanique traditionnelle font confiance à une montre connectée pour pratiquer leurs loisirs préférés. Une démarche somme toute, assez logique.
 
Depuis un quart de siècle, la saga Lassaussois est une histoire de famille et de passions partagées. Jean Lassaussois, l’ainé des deux frères a créé et développé cette enseigne qui compte Les Montres, deux boutiques multimarques, une boutique Rolex rue de Rennes et une boutique de montres d’occasion dans le quartier de Saint Germain.
 
« Le maitre mot des boutiques Les Montres depuis trente ans, avec mon père Jean et mon oncle Arnaud, a toujours été de porter l’innovation en horlogerie, souligne Pauline Lassaussois, responsable de la boutique Les Montres Collector. Nous avons toujours voulu être pionniers et proposer à nos clients l’offre la plus nouvelle qui soit ».
 
Et la jeune femme de poursuivre : « nous qui proposons à nos clients des montres mécaniques de qualité, nous leur déconseillons de s’en servir pour le sport. Et Garmin constitue une alternative de choix avec des montres connectées qui font référence en matière d’usage sportif. »
 
« L’étanchéité, les fonctionnalités multisports, la cartographie intégrée, tout en alliant élégance et design sont autant d’atouts des montres connectées Garmin », détaille Pauline Lassaussois. Il existe une vraie complémentarité entre la montre mécanique habillée et la montre connectée sportive ».
 
« C’est par ailleurs important pour nous d’apporter en boutique des produits aux finitions équivalentes à celles d’un produit horloger mécanique. Les montres Garmin sont en titane, avec un système de bracelet interchangeable extrêmement simple, pour alterner en quelques secondes entre silicone, cuir et métal »
 
Parmi les modèles Garmin sélectionnés par Les Montres on retrouve la montre d’aviation de luxe D2 Charlie qui a été choisie par l’U.S. Air Force pour accompagner les pilotes du Lockheed U-2, l’un des avions de reconnaissance les plus emblématiques de l’histoire de l’aviation. Elle est composée de matériaux haut de gamme et propose une autonomie de 20 h en mode GPS et 12 jours en mode montre connectée.
 
Grâce à sa cartographie intégrée, elle permet aux pilotes de créer et modifier facilement leurs plans de vol. Cette montre à la pointe de la technologie inclut également des fonctions multisports avancées tout en étant compatible avec l’application Garmin Connec

Depuis sa création en 1988, l’innovation a toujours été l’une des valeurs les plus importantes pour le groupe Frédérique Constant. Dans cet esprit, les montres intelligentes conçues par la marque ont associé les caractéristiques de l’horlogerie classique aux innovations technologiques du 21ème siècle.
 
Après deux ans de recherches et développement, FC a pu présenter son modèle Hybrid Manufacture : un mélange de mécanisme horloger de qualité et de fonctions connectées. « Nous étions la première manufacture horlogère suisse a lancé l’Horological Smart Watch en 2015. Aujourd’hui, nous sommes les premiers à combiner calibre mécanique et fonctionnalités intelligentes » a déclaré pour l’occasion Peter Stas.
 
Rappelons que cette montre combine trois technologies : un mouvement manuf’, des fonctions intelligentes et une analyse de calibre. Dans la pratique, l’analyse du calibre vérifie le bon fonctionnement du mécanisme en mesurant différents paramètres. FC va désormais poursuivre dans cette voie et continuer à réaliser des montres intelligentes et à repousser les limites de la technologie dans la fabrication horlogère.
 
Peter Stas a reçu ce prix aux côtés d’autres gagnants : Reto Wyss (Vidi-System, Cognex) ; Philippe Menoud (IEM) ; Aude Pugin (Apco Technologies SA); Denis Jeannerat (Willemin-Macodel) ; Samuel Vuadens and Jonas Hügli (Factory 5) ; Marc Thurner (regenHu) ; Claude Jeannerat (Micro5) ; Christophe Nicolet (Felco) and Philippe Menoud (IEM).
 
Les gagnants ont reçu un lingot de fer comme symbole de leurs accomplissements dans la société 4.0. Le jury était composé de Xavier Comtesse (à l’origine du projet), Dominique Duay, Jean René Gonthier, Philippe Grize, Takahiro Hamaguchi, Florian Németi, Edouard Mignon, Elmar Mock, Sylvie Reinhart, Nicolas Thibaudeau et Wolf Zinkl.

Dans le cadre de ses « Summer Editions », la manufacture horlogère suisse vient donc de dévoiler une nouvelle variante de sa Portugieser Yacht Club Chronographe, initialement lancée en 2010.
 
Avec son boîtier étanche en acier de 44,5, son cadran bleu et son bracelet en caoutchouc bleu, ce chronographe sportif (Réf. IW390507) s’avère idéal pour l’été.
 
Le cadran bleu soleillé est associé à des compteurs blancs, des aiguilles rhodiées et une trotteuse rouge. L’ensemble dégage une allure très sportive et marine. De précédentes versions de la Yacht Club ont été livrées avec cadran bleu (collection Laureus), mais sans les compteurs blancs.  
 
Le calibre automatique manufacture 89361 avec fonction flyback indique les heures et les minutes mesurées, combinées sur un compteur à 12 heures, tandis que l’échelle graduée en quarts de seconde sur le réhaut permet la mesure précise des temps courts.
 
Le fond transparent en verre saphir permet d’admirer la vie mécanique intérieure de ce chronographe.

Depuis une dizaine d’années, le bracelet-montre est devenu un véritable complément de nos garde-temps. Le fait est que changer de strap permet, non seulement de personnaliser nos montres, mais également de changer le look de celles-ci, les rendant tour à tour sportives, habillées, casual, etc.
 
Pendant des années, les marques horlogères ont dédaigné ce « marché secondaire », ne proposant que des bracelets ultra-classiques et souvent ennuyeux. Poussant les amateurs à rechercher des straps sur-mesure ou auprès de jeunes marques nettement plus créatives.
 
Aujourd’hui, les grands groupes de luxe ne veulent plus laisser ce marché dans les mains « d’outsiders » et la plupart des grandes marques proposent maintenant des straps nettement plus « disruptifs » ! C’est le cas de Cartier, de Panerai, d’Omega, mais également d’IWC qui propose carrément une « série spéciale été ».  
 
De fait, IWC vient de dévoiler une collection de bracelets en textile (grande tendance de ces derniers mois) pour certaines de ses montres classiques les plus populaires qui se distingue par un design estival dans des tons bleu ou gris clair. Les variantes suivantes sont proposées :
• Montre d’Aviateur Mark XVIII et Montre d’Aviateur Chronographe : quatre bracelets en textile (bleu, gris clair, bleu avec bordure gris clair, gris clair avec bordure bleue)
• Portofino Automatique et Portofino Chronographe : deux bracelets en textile (bleu, gris clair)
• Portugieser Chronographe : deux bracelets en textile (bleu, gris clair)
 
Disponibles seulement pour une durée limitée, ces bracelets sont proposés comme accessoires pour des montres déjà acquises ou de nouvelles montres appartenant aux lignes susmentionnées.