À Lugano, les initiatives culturelles et artistiques visant à valoriser cette ville qui est déjà l’une des destinations préférées du tourisme suisse et international, se multiplient. De fait, de nombreux événements ont eu lieu cette année, dont la troisième édition de Wopart qui été inaugurée le 20 septembre et s’est terminée le 23 septembre 2018.
 
Cette exposition d’œuvres sur papier créée en 2016 a connu une belle croissance à deux chiffres au fil des éditions : le nombre d’exposants internationaux et l’affluence des visiteurs n’ont cessé d’augmenter grâce à la qualité des œuvres présentées, le savoir-faire des organisateurs et le soutien de la municipalité.
 
L’horloger Eberhard & Co. est l’un des sponsors de l’événement. Au sein du Wopart, la marque propose en partenariat avec l’horloger local Mersmann de Lugano, un lounge dans lequel les visiteurs peuvent découvrir les montres E&C.
 
Les modèles exposés retracent les grandes étapes de développement de la marque : un modèle de poche de 1894, le premier chronographe de poignet présenté en 1919, un exemplaire de la collection Extra-fort produit au début des années quarante et ensuite, l’une des montres de plongée Scafograf qui illustre les modèles des années 60. Parmi les modèles contemporains, la nouvelle Scafograf « The Black Sheep ».
 
Les visiteurs de Wopart ont aussi été les tous premiers à pouvoir admirer une œuvre photographique réalisée par l’artiste Mario Cresci pour le compte d’Eberhard & Co., dont le motif d’inspiration est résumé dans son titre « Tempo e Movimento » (Temps et Mouvement).

On le sait, l’impression 3D s’annonce comme l’une des révolutions majeures de ce siècle. Cette technologie, qui reste encore à l’état embryonnaire, est appelée à se développer rapidement dans les années à venir avec des utilisations encore à découvrir. Nous n’en sommes en effet qu’aux balbutiements. Mais certains prennent déjà de l’avance dans leur domaine d’activité.
 
C’est le cas de Philippe Lebru, horloger et inventeur français installé à Besançon et concepteur des horloges d’avant-garde de la marque Utinam. L’homme et sa grosse barbe grise sont connus et reconnus dans le monde de l’horlogerie (on lui doit par exemple l’horloge de la manufacture IWC de Schaffhausen).
 
Il vient de dévoiler en avant-première, un boitier de montre en acier qui a été imprimé en 3D ! Plus concrètement, la carrure de cette montre « est imprimée d’un seul tenant en fabrication additive par fusion laser sur les équipements du pôle formation UIMM de Besançon (au sein de son Créativ Lab) » précise-t-il.

Rien n’est officiel mais l’image laisse de peu de place au doute… En effet, Bell & Ross a publié la semaine dernière sur sa page Facebook, une photo-montage mettant en avant le logo de la marque BAPE Japan (une institution dans le streetwear et au Japon) associée au chiffre 25 en chiffres romains.
 
On peut donc légitimement imaginer que Bell & Ross et BAPE (pour Bathing Ape) vont proposer très prochainement une montre en édition limitée (surement très limitée d’ailleurs ; 25 pièces ?). Et pourquoi pas en version camouflage puisque c’est l’une des spécialités de BAPE et qu’on retrouve ce motif de temps en temps chez B&R. Reste à savoir où et quand sera commercialisé ce modèle… Patience.
 
Rappelons que la marque de streetwear japonaise BAPE réalise régulièrement de collaborations avec d’autres marques. De Mr Porter à G-Shock en passant par Adidas (pour le Super Bowl), l’enseigne nippone multiplie les partenariats. Et souvent avec des pièces qui deviennent rapidement des collectors.

La technologie Eco-Drive est conçue de manière à ce que de toute source de lumière, même la plus faible, puisse générer l’énergie requise pour alimenter la montre. Lorsqu’une Eco-Drive One se trouve dans l’obscurité, ses aiguilles cessent de tourner afin d’économiser son énergie. Malin.  
 
Dès que de la lumière revient se poser sur la montre, les aiguilles se remettent rapidement en mouvement et reprennent leur place à l’heure exacte. Magique. Précisons que ce calibre 8826 offre une précision de plus ou moins 15 secondes par mois.
 
Ces trois nouveautés sont de surcroit dotées de boitiers (36.5 mm de diamètre) et de bracelets en Super-Titanium. L’épaisseur de ces montres est de 3.53 mm. Elles se posent sur le poignet telle une seconde peau tant elles sont fines et légères. Leurs cadrans sont en verre saphir bleu foncé, blanc ou noir ; ils sont protégés par un autre verre saphir traité antireflets.
 
Rappelons que le Super Titanium est un métal qui a été breveté par Citizen. Il s’agit en réalité d’un titane traité au Duratect α. Plus léger que l’acier (40%) il est dans cette configuration cinq fois plus dur (point important compte-tenu de la finesse de la boite qui ne doit pas être fragilisée) ; il est aussi plus agréable au porté !
 
A noter qu’il existe également une version en édition limitée à mille exemplaires avec cadran en saphir noir, boitier -37 mm ; épaisseur de 2.98 mm- et bracelet en cermet et lunette anthracite en Altic. Compter 5.500 euros.

En cinq ans, Briston est parvenu à trouver sa place sur un marché horloger saturé grâce à ses boitiers en acétate de forme coussin associés à des calibres à quartz.
 
Petit à petit, la marque s’est développée de belle manière en France, en Europe mais également dans le reste du monde où les montres Briston sont présentes chez les détaillants horlogers et dans les concept-stores les plus tendances. Une réussite bien méritée.
 
Avec le temps les gammes et les collections se sont développées et désormais, Briston propose aussi des montres avec calibres mécaniques automatiques toujours montés dans les boitiers de forme coussin (40 ou 42 m) chers à la marque. Un bon point d’ailleurs pour la « plongeuse » (en photo ci-dessous) qui en plus d’être très sympa avec son cadran en noyer véritable, sort à moins de 500 euros !
 
Aujourd’hui, forte de ses mille points de vente dans le monde, Briston vient de poser ses valises dans le Marais dans un espace de 35m2 mettant en avant ses différentes collections…Située au 24 rue de Poitou, la boutique est ouverte du mardi au samedi.

La Sport Classic de chez Ebel est un grand classique de l’horlogerie des années 80. Cette montre revient en force depuis quelques temps avec l’arrivée de nouveaux modèles hommes et femmes, principalement motorisés avec des calibres à quartz.
 
En cette rentrée 2018, Ebel arrive avec une Sport Classic de 29 mm (étanche 50 mètres) qui reprend parfaitement le design d’époque. En or rouge et acier brossé-poli (lunette, couronne et fin liseré sur les maillons en forme de vague caractéristiques de la marque), cette montre embarque désormais un calibre mécanique automatique (ETA 2000-1) visible à travers le fond transparent de la boite.
 
Pour le reste, elle brille de mille feux grâce à la présence de huit index diamants sur le cadran en nacre et de 47 diamants sur la lunette en or. Les aiguilles sont quant à elles plaquées or rose .