La troisième Commission d'art d'Audemars Piguet a dévoilé l'oeuvre « Slow-Moving Luminaries » réalisée par l'artiste de Los Angeles, exposée entre la 21e et la 22e rue à Miami Beach.
L'annonce du décès de Walter Lange, survenu pendant le SIHH 2017, avait bouleversé le monde de l’horlogerie. Interrogé sur la manière dont il pensait honorer la mémoire de Walter Lange, le CEO Wilhelm Schmid avait alors répondu : « La meilleure manière de saluer l’oeuvre de Walter Lange consiste à poursuivre et à développer son entreprise dans le respect de ses valeurs. » La 1815 « Homage to Walter Lange » existe en quatre versions, dont une exceptionnelle version en acier inoxydable et cadran en émail noir serti, produite à un seul exemplaire.
Certains se prévalent de leurs décennies, voire de leurs siècles d’antériorité. Ce n’est d’ailleurs jamais un combat facile que de rester aussi longtemps sur le devant de la scène, en résistant aux assauts des concurrents, du temps, des crises, voire tout simplement de l’essoufflement créatif.
Après Maxime Büchi, Lapo Elkann, Pelé, Lang Lang, Bar Refaeli, Usain Bolt ou encore Dustin Johnson, Richard Orlinski a rejoint la famille Hublot. Animés par le même sens du détail et par la même passion, l’artiste et Hublot ont conçu ensemble la la Classic Fusion Aerofusion Chronograph Orlinski, une création originale qui repousse les frontières du savoir-faire horloger traditionnel. Quand le temps se fait art, quand l’art se fait temps ! « La fusion de nos deux univers, celui de la Maison Hublot qui façonne de précieux matériaux et imagine des produits d’exception, et le mien, un monde pop et coloré, s’est exercée de façon extrêmement spontanée, presque naturelle », confie Richard Orlinski.
Peu de collectionneurs sont au courant de l’arrivée de cette nouveauté sur laquelle Omega a peu communiqué… Mais pourtant, cela fait déjà quelques semaines que les inconditionnels de la Moonwatch ont mis leur nom sur les listes de leur détaillant préféré pour être certains d’avoir leur exemplaire avant les fêtes. Et ça y est, cette Speed Apollo 45ème anniversaire Tribute to Gene Cernan commence à être livrée.
Au cours de son histoire rappelle la marque sur son site web, « la légendaire Speedmaster est allée six fois sur la Lune, preuve de la confiance absolue que lui accordent les astronautes ». Or, c’est là où cette montre est symbolique et rare : en effet, elle vient célébrer la toute dernière de ces missions lunaires, Apollo 17, lancée le 7 décembre 1972 (d’où les 1972 exemplaires) avec le commandant Eugene Cernan, le pilote Ronald Evans et le pilote du module lunaire Harrison Schmitt.
À l’occasion de son 45e anniversaire, l’horloger biennois a imaginé deux éditions limitées produites en hommage à cette mission et à son commandant, Eugene Cernan qui fut donc le dernier homme à marcher sur la Lune et à réintégrer le module avec sa Speed au poignet (réf ST105.003). Le modèle en acier (le plus intéressant) arbore une lunette et un cadran en céramique bleue soulignés de touches d’or jaune, un chouia clinquant mais très beau. A noter que le compteur situé à 9h gravé en PVD couleur chrome est orné d'une représentation de la Lune et du dieu Apollon. L’ensemble est protégé par un verre saphir et non hésalite comme sur la plupart de ces modèles.
Au final, au bout de deux ans, ces animaux donnent une viande très persillée (grasse) et tendre au gout absolument unique qui était réservée à l’origine, à l’empereur du Japon. Ce bœuf donne également un cuir très à part, un peu « granuleux », où le mat alterne avec des petits points brillants, comme vernis. Bref, un aspect totalement unique et introuvable ailleurs que chez ABP à Paris.
Ce cuir convient parfaitement aux montres de ville pour hommes et femmes, voire même aux garde-temps très habillés pour le soir –idéal pour les soirées de réveillon. Il n’est proposé qu’en version noire et sera parfait sur une Omega DeVille, sur une Tank de Cartier ou une Reverso de Jaeger-LeCoultre. Privilégiez des coutures et des bordures ton sur ton, cette peausserie étant déjà suffisamment unique par elle-même pour y ajouter des « fioritures ». Compter dans les 250 euros env. pour un strap sur-mesure.
Cette île française est située à 1.080 km au sud-ouest du Mexique, à la pointe la pointe de la péninsule de Baja et à 945 km du continent le plus proche. En dépit de son isolement, son écosystème unique est menacé par la pêche illicite et la pollution… Or, les eaux de Clipperton font partie du couloir de migration de nombreuses espèces marines menacées comme les requins, les pélagos et plusieurs espèces terrestres et sous-marines qui y vivent.
En début d’année, Oris est devenue le sponsor principal de l’Expédition Clipperton, une mission de « science citoyenne » menée par la société canadienne N2Pix, spécialisée en imagerie sous-marine. L’expédition, conduite par Michel Labrescque et Julie Ouimet, a été compliquée à mettre en oeuvre : une équipe de scientifiques et d’écologistes ont effectué un voyage en bateau de 80 heures –cette île n’étant pas accessible autrement.
Les objectifs de cette expédition étaient, d’une part, de sensibiliser le public et mettre en valeur le rôle vital de l’île de Clipperton, d’un point de vue migratoire. Et d’autre part, de collecter de précieuses données scientifiques pour étayer les théories sur la migration des requins et préserver l’écosystème particulier de cet atoll.
Lorsqu’en 1893, Frédéric Boucheron décide d’installer ses ateliers au 26, place Vendôme, il fait preuve à l’époque, d’une certaine audace.
En effet, délaissant alors les traditionnels salons privés en appartement, il choisit un lieu baigné de lumière, pourvu de hautes arcades et idéalement situé. Il devient ainsi le tout premier joaillier contemporain à s’installer sur cette place. Ce qui changera définitivement son destin !
Classé monument historique en 1930, l’hôtel de Nocé offre aux clients de la maison un cadre intimiste et précieux, dont l’atmosphère particulière évoque celle d’une maison de famille. En procédant aujourd’hui à sa remise à neuf (nécessaire), Boucheron perpétue ce patrimoine d’exception.
En 1858 sous les arcades du Palais Royal où il s’installe, Frédéric Boucheron contemple le lierre qui triomphe des façades de Paris. Cette vision qu’il a d’une nature triomphante et libre va être le fil conducteur d’une inspiration intarissable.
Pour accompagner cette transition, Boucheron a donc mis en place une scénographie spectaculaire en lien avec ce thème cher à la maison parisienne. Ainsi, la façade de l’immeuble est intégralement recouverte par une bâche aux dimensions monumentales, ornée d’un décor en trompe-l’oeil où se dessine un entrelacs de troncs, lianes et feuillages enchevêtrés avec le bâtiment.
Comme si la boutique avait été laissée à l’abandon depuis 125 ans, et que la nature y avait repris ses droits. Plusieurs détails amusants cachés sur la toile se révèlent aux observateurs les plus attentifs et viennent accentuer l’aspect décalé de cette mise en scène. Allez y jeter un œil à l’occasion…
Pendant le temps des travaux, Boucheron a aménagé un pop-up store de 60m2 à l’intérieur du bâtiment. Clin d’oeil au décor extérieur, cet espace de vente éphémère est lui aussi envahi par une nature exubérante : un tronc d’arbre planté au milieu de la boutique semble ressortir par la façade, des lianes surgissent du puits de lumière percé au plafond, tandis que le visiteur est accueilli par un écran interactif qui se couvre de lierre au fur et à mesure que la personne avance…
Rendez-vous au printemps 2018 pour l’ouverture de cette boutique historique totalement rénovée.
C’est Place Vendôme, à Paris qu’Hublot et Berluti ont organisé une soirée à l'hôtel d'Evreux pour célébrer le lancement de deux nouvelles montres issues de la fusion de leurs savoir-faire.
Le prestige du design romain associé à un mouvement quartz suisse personnalisé pour Bulgari : la Serpenti 2017 affiche des atouts qui ont fait sa réputation et les complète avec une nouvelle série de bracelets double-tour en cuir de couleurs variées. Nous avons choisi une Serpenti en or rose et lunette sertie de diamants taille brillants dont le cadran de nacre claire s’assortit aux diamants et met en évidence les grands index bâtons et les chiffres romains dorés. Le bracelet poursuit le thème cher à Bulgari puisqu’il est en précieux cuir de Karung - un serpent d’eau dont les écailles rappellent celles d’une peau de lézard - et coloré à l’aide de pigments naturels aux chaudes couleurs marron. La montre est livrée avec un second bracelet en cuir de veau.
