En 2020, alors que toutes les montres connectées et les bracelets de sport vous informent sur votre le rythme cardiaque, pourquoi diable acheter une montre pulsomètre mécanique ? Elle n’affiche pas spontanément votre rythme cardiaque actuel, ne vous avertit pas en cas de fréquence cardiaque trop élevée ou trop faible, ne vous envoie pas de notification d’arythmie… et ne pourra pas vous sauver la vie, comme, paraît-il, certaines smartwatches l’auraient fait.
Puisant son inspiration dans les montres-bracelets Minerva classiques des années 1940-1950 et dans le style néo-dandy, Montblanc dévoile trois nouvelles références venant enrichir la collection Heritage. Ces modèles s’adressent aux gentlemen raffinés et modernes, affectueusement surnommés « néo-dandy » ; ceux qui sont attentifs aux détails singuliers, comme le toucher d’un tissu, la coupe d’une veste, le choix des couleurs ou encore les finitions d’une tenue idéale. Ces hommes sont passés maîtres dans les codes de l’art vestimentaire. Passionnés de mode, ils recherchent un équilibre entre allure et authenticité dans des tenues qui surprennent par leur originalité. Ils incarnent l’élégance sophistiquée qui est l’essence même de la ligne Heritage.
Brevetée et réalisée entièrement en interne à la Fabrique du Temps Louis Vuitton, la montre Escale Spin Time évoque par son nom les mouvements rotatifs des cubes qui affichent les heures. La lecture est résolument moderne. En lieu et place d’une aiguille, ce sont douze cubes positionnés sur le pourtour du cadran et pivotant sur eux-mêmes qui indiquent le temps qui passe. Ainsi, alors que onze cubes affichent en gris les motifs inspirés de la personnalisation des malles Louis Vuitton, le douzième affiche l’heure sur une face dorée. Ce concept unique, innovant, aussi ludique que technique est animé par un mouvement automatique, le calibre LV 77, offrant une réserve de marche de 40 heures.
Autant le dire d’entrée de jeu : je n’ai jamais été un grand fan des montres connectées. La technologie et moi faisons deux. En matière d’horlogerie, mes goûts sont plutôt traditionnels ; preuve en est, je porte au poignet une montre mécanique : la TAG Heuer Carrera. Cependant, je dois avouer que le test d’une semaine que j’ai effectué avec la nouvelle TAG Heuer Connected 45mm (3ème génération) m’a fait changer d’avis et ceci pour une bonne raison : c’est une montre qui s’adapte.
Dans la droite ligne du passage de témoin réussi entre les générations Summit et Summit 2 en 2018, Montblanc enrichit sa gamme de montres connectées avec une autre innovation. Summit 2+ sera la première montre intelligente de haute horlogerie à activer sa connectivité directement dans l'app Wear OS by Google sur les mobiles Android. Cette nouvelle montre augmentée de technologie portable souligne l'élégance raffinée de ses propriétaires. Toujours connectée, même à distance du téléphone. Le design caractéristique de Montblanc permet aux inconditionnels des montres de tradition de s'exprimer, tout en abritant une technologie dernier cri dans un boitier 100 % acier de 43,5 mm. Une puce Snapdragon 3100, une autonomie prolongée de la batterie 440 mAh et un écran AMOLED 1,28 pouce, le tout relié avec grâce à un bracelet amovible de 22 mm. Avec son micro intégré, la Summit 2+ permet à son propriétaire d'accéder directement aux services de téléphonie ou de l'Assistant Google, par exemple.
Grâce à sa nouvelle plateforme en ligne "Certified Pre-Owned" ("Montres d'occasion certifiées"), H. Moser & Cie. souhaite renforcer les liens avec ses clients et répondre de manière pointue à leurs attentes à travers un service personnalisé. Les créations de H. Moser & Cie. sont par essence très rares - 1'500 pièces sont produites annuellement - et de par sa production exclusive, la manufacture ne peut proposer que des séries très limitées, avec pour conséquence une demande qui excède largement l’offre.
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Le 18 février dernier, la boutique Montblanc de Genève recevait un hôte de marque, un joueur de tennis à la carrière internationale impressionnante, bien connu dans le monde entier, mais aussi, de surcroit dans son pays, la Suisse. Le Vaudois Stan Wawrinka, qui est né à Lausanne et a passé son enfance dans le village de Saint-Barthélémy, était donc venu en voisin à Genève pour y être présenté comme nouvel ambassadeur de Montblanc. Ou plutôt comme nouveau Mark Maker, selon la terminologie adoptée par la marque dont l'emblème, l'étoile blanche à six branche, représente le sommet éponyme des Alpes qui a aussi donné son nom au pont qui traverse la rade de Genève, juste en face de la boutique. Les Mark Makers que Montblanc choisit sont des " personnalités - sportifs, artistes ou entrepreneurs - inspirantes, passionnées et libres, des personnes qui se dépassent, suivent leur instinct et ont une belle sensibilité sur le monde qui les entoure".
Peut-être pas. La marque est toute récente, elle a été fondée en 2010 et souffle donc ses dix bougies cette année. Une broutille comparée à certains poids lourds de l’horlogerie suisse dont l’ancienneté atteint plus de 250 ans. Mais Cyrus a quand même une longue histoire, celle de Cyrus le Grand, intrépide conquérant et fondateur de l'Empire perse, qui a régné au Ve siècle avant J.C, et dont la ville, Babylone, est la source d’inspiration de la marque. Une pièce de monnaie antique est d’ailleurs reproduite au dos des montres Cyrus. En dix ans, la marque - qui est une manufacture indépendante - s’est fait connaître des amateurs de belle horlogerie pour ses complications exclusives et ses designs expressifs, mais aussi parce qu’un nom fameux lui est associé, celui de l’horloger Jean-François Mojon, son directeur technique et l’auteur de ses créations.
On peut considérer l'horlogerie comme une technique extrêmement ancienne, ancrée dans les racines mêmes de l'histoire de l'humanité, et c'est un peu le cas si on l'étend à la catégorie plus large de la mesure du temps, avec les cadrans solaires, les obélisques, les clepsydres, etc. Ce qui différencie les sociétés primitives des premières civilisations est le niveau de sophistication, la façon dont elles adhèrent aux mêmes rythmes et rituels de vie - c'est-à-dire que l'essor de la civilisation humaine est profondément lié à une conscience commune du temps et au développement des systèmes de mesure de celui-ci. Dans la chronologie générale de la planète, cependant, l'ère de l'homo sapiens a été d'une brièveté stupéfiante, comprenant les 200 000 dernières années, soit un simple clignement d'œil comparé aux 4,5 milliards d'années de la Terre.
