
Deux ans après son retour au sein des gammes Girard-Perregaux, la Laureato entame un nouveau chapitre de son histoire avec l'introduction d'une gamme étoffée de chronographes.

Deux ans après son retour au sein des gammes Girard-Perregaux, la Laureato entame un nouveau chapitre de son histoire avec l'introduction d'une gamme étoffée de chronographes.

A Lucerne le lundi 27 août, Carl F. Bucherer partage son magnifique terroir avec un hôtel très glamour: le Bürgenstock Resort Lake Lucerne. Carl F. Bucherer et Gault&Millau Suisse ont élu cet hôtel « Hôtel de l’année 2019 ». La cérémonie de remise du prix s’est tenue dans cet hôtel juché sur une crête spectaculaire et offrant une vue extraordinaire sur le lac des Quatre-Cantons. C’est déjà la douzième fois que la marque et le guide gastronomique, partenaires depuis de nombreuses années, élisent l’«Hôtel de l’année».








L’histoire remonte à 1914 avec le premier décor panthère sur une création Cartier. Il s’agit d’une montre-bracelet pour dame dont le large boîtier rond englobant un cadran carré est tacheté de diamants et d’onyx reproduisant le pelage du félin. Pas encore de tête, ni de regard perçant, ni de corps souple, mais déjà un motif panthère qui continue d’être reproduit depuis plus de cent ans. Toujours en 1914, Louis Cartier, alors à la tête de la Maison, commande à l’illustrateur Georges Barbier un carton d’invitation représentant une femme debout dans un style très Art Déco, une panthère noire couchée à ses pieds. Cette « Dame à la Panthère » lui plaira tellement, qu’il l’utilisera ensuite comme publicité. A cette époque en mal d’exotisme, les grands félins, gracieux et mystérieux, avaient la cote auprès de la haute société et incarnaient l’image de la femme fatale. Louis Cartier utilise donc un emblème à la mode pour créer la Femme Panthère. Et c’est une femme qui fera entrer cet animal dans l’univers Cartier, avec une fantaisie et une créativité qui surpassera l’inspiration classique de Louis Cartier.
Au SIHH 2018, Roger Dubuis dévoilera deux nouvelles Excalibur, développées en collaboration avec Pirelli et Lamborghini. Au SIHH 2018, Roger Dubuis dévoilera...
Révolutionnaire, répandu, de plus en plus accessible, le silicium a conquis une place de choix dans les montres. Il a réglé les questions... Révolutionnaire, répandu, de plus en...

Pour les femmes, la collection 101 évoque toute une histoire. L’histoire, sans cesse renouvelée, de l’alliance entre expertise horlogère et perfection joaillière. L’histoire, unique, du plus petit mouvement mécanique au monde, initié pour la première fois en 1929, entièrement manufacturé et composé sous les toits de la Grande Maison, dans la Vallée de Joux. Incarnant à la perfection la rencontre de la Haute Horlogerie et de la Haute Joaillerie, ces deux modèles inédits révèlent sous leurs diamants un savoir-faire ancestral, dédié au mystère de l’infiniment petit. Aujourd’hui en or rose, 101 Reine et 101 Feuille offrent aux femmes du monde, héroïnes du jour et de la nuit, l’un de leur plus beau rôle.
Précisons que cette montre est entièrement façonnée en céramique noire à base d’oxyde de zirconium. Par ailleurs, les designers de la maison biennoise ont choisi un code couleur jaune qui contraste avec cette tonalité sombre.
Rappelons qu’en 1968, Omega utilisait pour la première fois un code couleur dans la collection Speedmaster sur le modèle Speedmaster Racing. Aujourd’hui, le jaune, souvent associé à la vitesse, « semble tout particulièrement adapté à cette montre » estime la marque dans son communiqué.
De fait, les aiguilles du chronographe sont vernies de jaune tandis que l’échelle tachymétrique et la couronne sont revêtues de Superluminova. La thématique jaune et noir s’étend aussi au bracelet en cuir, qui intègre un insert en caoutchouc jaune révélé par des microperforations réalisées à l’aide d’un outil de fraisage.
Le texte gravé sur le fond du boîtier, « We’ll see you on the other side » (« On se retrouve de l’autre côté »), est une phrase prononcée par le pilote du module de commande, Jim Lovell, lors de la mission Apollo 8 alors que l’équipage se préparait à entrer en orbite autour de la Lune et à passer du côté obscur du satellite, un hémisphère mystérieux que personne n’avait pu observer jusqu’alors. Quelques secondes avant la disparition du vaisseau et la rupture du contact radio, Lovell a prononcé ces mots rassurants à destination du centre de commandement sur Terre.
Rubrique réalisée en collaboration avec le magasin de ventes en ligne de montres d'occasion www.perpetualis.fr
Sébastien Destremau est un célèbre navigateur et journaliste spécialisé voile tandis que Mathieu Crepel, snowboardeur, recordman et « Poséidon » français dompte la mer et la montagne selon le cycle de l’eau et les saisons. Ces deux hommes rejoignent donc Fred Buyle, apnéiste et photographe et Alex Caizergues, champion de kitesurf.
Sébastien Destremau, skipper et navigateur franco-australien, vainqueur de la Sydney-Hobart Race en 1998, considérée par certains comme la course à la voile la plus difficile au monde, décide en 2016 de s'attaquer à un défi encore plus grand : le Vendée Globe, la course à la voile autour du monde en solitaire la plus redoutable. Malgré des avaries techniques, un manque de nourriture et même une coque fissurée, il atteint son but après un périple de124 jours et est accueilli en héros aux Sables d’Olonne. Cinq fois champion du monde, il représente également la France aux Jeux Olympiques.
- 5 campagnes pour la Coupe de l'America
- 124 jours en mer en solitaire pour le Vendée Globe 2016
- Une victoire à la Sydney-Hobart
- Une campagne olympique en Flying Dutchman
- Une victoire en solitaire sur la Calero Solo Transat 2016
La toute première version de cette collection, qui sera suivie d’autres modèles, est dotée d’un boîtier symétrique de 38 mm en or Sedna 18K (un or exclusif à Omega) et d’une lunette pavée de diamants. On retrouve l’or Sedna sur les aiguilles, qui indiquent l’heure sur les 12 index rubis taille marquise.
Par ailleurs, cet impressionnant cadran joaillier se distingue par ses trois motifs ondoyants de styles différents, qui rappellent le rythme des vagues de l’océan (normal pour une Seamaster) : le premier en guilloché argenté se mêle à un second en or Sedna et à un troisième en or Sedna également serti d’un total de 191 diamants.
Sur la carrure, la couronne conique polie de l’Aqua Terra porte le logo de la marque frappé sur une surface matte. Côté moteur, cette montre-bijou est entraînée par le calibre automatique et amagnétique Master Chronometer 8807. Enfin, la montre repose sur un bracelet en cuir rouge verni.