Inspiration astronomique

Ses nouvelles variations présentées au SIHH 2019 répondent au nom d’Oeuvres d’or. Elles complètent la gamme existante, qui s’incarnait principalement par une version or gris (FB 1.1) complétée d’une version or rose (FB 1.2). Techniquement, les deux nouvelles « œuvres d’or » ne diffèrent pas de leurs aînées : même mouvement, mêmes matériaux. Ce sont leurs finitions qui font leur singularité – des finitions 100% faites main qui trouvent leur inspiration au cœur du patrimoine Ferdinand Berthoud. Elles sont directement inspirées d’une pièce conçue par Ferdinand Berthoud, la Montre de poche astronomique N° 3, assemblée et réglée en 1806 à Paris par son élève Jean-Martin. Elle se trouve aujourd’hui dans la collection du L.U.CEUM à Fleurier.

Après avoir présenté ses collections manufactures masculines les années précédentes, Schwarz Etienne s’est lancé le défi de proposer sa première pièce femme, dessinée « par une femme, pour une femme ». 

Czapek entame la nouvelle année à sa nouvelle adresse de la rue de la Corraterie 18, au centre de Genève, la ville où François Czapek ouvrit son magasin, quai des Bergues. Les nouveaux locaux abritent désormais le siège de la société et un espace où les collectionneurs pourront découvrir la marque et ses montres. Ce déménagement vient consolider les trois années d’activité au cours desquelles Czapek & Cie a développé trois mouvements en interne et remporté le prestigieux Prix du Public du Grand Prix d’Horlogerie de Genève.

Lorsqu’on est indépendant, il faut parvenir à sortir du lot sans avoir les moyens des grands groupes. Aussi, en cette année horlogère qui verra la Lune briller au-dessus de grand nombre de créations, 50 ans d’Apollo 11 obligent, Louis Moinet présente non pas une mais deux pièces : « Moon » et « Mars ». Et avec des angles d’attaque...qui n’ont rien à voir avec la conquête spatiale !

Pour la première fois, un horloger sertit sa montre de la brillance turquoise d’une cupro-elbaïte. Une pierre très rare dont on mesure toute l’exclusivité lorsqu’on sait qu’il y a en moyenne un Tourmaline Paraíba minée pour 10'000 diamants. 

Le bruit courait depuis un certain temps mais les secousses tectoniques qui ont animé la marque ces derniers mois avaient fini par faire oublier les travaux en cours. C’est finalement chose faite : après Nivarox et son spiral qui occupe plus de 95% des montres suisses, après le silicium proposé par Sigatec, voici venu le temps du spiral en carbone développé par l’Institut TAG Heuer. Derrière cette dénomination, Institut TAG Heuer, se cache Guy Sémon, l’homme fort de la R&D TAG Heuer, résistant au départ de Jean-Claude Biver, à l’arrivée de son remplaçant Stéphane Bianchi, à celle d’un nouveau designer transfuge de Chopard puis (furtivement) Breitling, Guy Bove, pour ne citer que quelques mouvements. 

En 2016, la Polo Piaget adoptait une nouvelle allure qui rénovait son design conçu pour le nouveau millénaire. La finesse des proportions était conservée, mais dans un boîtier agrandi et une lunette qui imbriquait une forme ovale dans une forme ronde pour mettre à l’honneur la signature esthétique de Piaget. Les aiguilles dauphines classiques à facettes se faisaient plus conviviales, échangeant leurs angles aigus pour des courbes plus douces. Sans qu’elle soit atténuée, l’audace du cadran et des godrons du boîtier migrait vers un cadran guilloché à la texture subtile. 

En ce début d’année 2019, Bulgari nous rappelle que la collection Octo ne se résume pas uniquement aux pièces ultra-plates et ultra-compliquées. En ce qui concerne les nouveaux modèles de la collection, on note un retour au noir avec deux montres en acier traité DLC arborant des touches d’or rose.

Quels ont été les faits marquants pour Bulgari en 2018 ?
Nous avons connu une nouvelle année de croissance et d’augmentation de nos parts de marché, si l’on compare nos chiffres avec le total des exportations de l’industrie horlogère suisse. J’en suis extrêmement satisfait, car nos performances sont supérieures à celles de l’industrie depuis maintenant quatre ans, depuis que nous avons lancé la collection Lvcea en 2014. Cette dernière est devenue l’un de nos produits phares aux côtés des collections Octo et Serpenti au succès retentissant. Elles représentent désormais la majeure partie de l’activité horlogère de Bulgari. Nous avons connu une croissance constante en 2018, grâce aux modèles Lvcea Tubogas et Lvcea Squelette que nous avons présentés à Baselworld. La collection Serpenti a également enregistré une croissance continue, grâce aux modèles en céramique et Tubogas. Avec la nouvelle première mondiale présentée l’an dernier, la collection Octo a aussi connu une forte progression. De plus, nous avons constaté une popularité grandissante pour les collections de montres en Asie, ainsi qu’une progression record en Chine.