Le premier travail a porté sur le bronze, un métal qui s’oxyde en fonction des conditions climatiques, de l’acidité de la peau, etc. Ses premières teintes, initialement chatoyantes (il ressemble à de l’or rose non oxydé), ont été davantage vieillies, comme si le temps passé au fond de l’eau s’était éternisé. Les tons bruns tirent donc vers le gris et le noir, comme en des abysses plus hostiles ; plus inquiétantes.  
 
Ensuite, ces trois pièces uniques se distinguent chacune l’une de l’autre par la présence d’un réhaut différent. Un premier modèle offre un rehaut rouge (avec les fameux fanions) tirant sur le bordeaux en phase avec les tons dominants de la boite en bronze. Un deuxième modèle présente un rehaut gris tandis que le troisième, plus contrasté, se pare d’un rehaut noir.
 
Le cadran a lui aussi subi une transformation majeure : il a disparu ! Exit le cadran en tek qui laisse place à un cadran de type squelette qui dévoile le mouvement automatique à date CO 082 offrant une réserve de marche standard de 42h. A noter la présence du logo Kronometry gravé sur le fond saphir. L’ensemble est complété par un bracelet en cuir brun patiné. Compter 13.200 euros.

L’accessoire et les bijoux masculins ont le vent en poupe. Bracelets Love de Cartier ou Force 10 de Fred, les messieurs n’hésitent plus à parer leurs poignets d’or, d’acier ou d’argent. Des bracelets qui viennent souvent en complément de la montre que l’on porte en vis-à-vis. On évitera de les porter du même côté, par besoin de ressembler à un arbre de noël.
 
Surfant sur cette tendance, Lassaussois Joaillier vient de dévoiler sa toute première collection de bracelets masculins. Exit l’or et les diamants qu’on retrouve dans les gammes féminines, et place à l’argent tressé (qui se fixent par le biais d’un cordon) décliné en quatre coloris avec à chaque fois petit et grand modèle.

C’est la grande nouveauté de la montre Rendez-Vous Moon. Un nouveau visage pour sa phase de Lune, qui révèle le savoir-faire des métiers rares de la Grande Maison. Dans un disque situé à 6h, l’astre de la nuit poli dévoile ses différentes phases sur un ciel étoilé bleu laqué, mis en valeur par la mer de nuages qui le soutient.
 
Reconnaissables au premier coup d’oeil, les codes qui caractérisent la collection Rendez-Vous ne manquent pas à l’appel. Parmi ces codes, d’aucuns reconnaîtront la lunette sertie de 60 diamants taille brillant, blottis les uns contre les autres. Dans une symétrie parfaite, le cadran intérieur de la montre accueille quant à lui 47 diamants de plus petite taille.

La Moser Nature Watch est une pièce unique en acier de 42 mm 100% Swiss Made (le leitmotiv de Moser). Elle est composée de plantes suisses endémiques (succulentes, mousse, mini echeveria, cresson, tradescantia et oignons de semence), son cadran est en pierre minérale naturelle et en lichen des Alpes suisses ; elle a vu le jour dans les jardins de la manuf’ de Schaffhouse. « Laisser le temps au temps, être attentif à la nature, veiller sur elle et constater à quel point elle est généreuse : la Moser Nature Watch représente tout cela ».
 
« Elle symbolise le changement climatique, s’inscrit en porte-à-faux contre un consumérisme effréné qui nous emporte tous ; munie d’un mouvement mécanique, la Moser Nature Watch est faite pour perdurer, pour être transmise, tel le témoin dans un relais, mais à la seule condition de savoir en prendre soin » ajoute encore le communiqué de la marque.

Après son entrée dans l’entreprise en 2003, où il a développé la marque avec succès aux Pays-Bas, John Van Steen devient, dès 2013, directeur des ventes. Tout en conservant ses fonctions, il accède aujourd’hui au poste de Directeur Associé.
 
 « John Van Steen est un expert du marché, un professionnel des ventes très compétent et un passionné d’horlogerie. Durant ces dernières années, il a travaillé dur pour faire grandir la marque, et je suis impatient de collaborer avec lui à la direction de la maison » a confié Manfred Bassler, fondateur et co-directeur de MeisterSinger.
 
Fondée en 2001 par Manfred Brassler à Munster, MeisterSinger est parvenu à imposer le concept de la montre à mono-aiguille, un sacré challenge ! Rappelons que cette lecture de l’heure via un seul segment remonte à l’antiquité et aux tous premiers cadrans solaires. Ce n’est qu’à l’aube du 18ième siècle que la deuxième aiguille fait son apparition.
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Largement implantée en Allemagne, MeisterSinger est « swiss made » avec une production installée à Bienne. Elle est présente dans 29 pays comme au Bon Marché à Paris ou à Barneys à New-York. La maison horlogère propose vingt-et-une collections avec plus de soixante-dix modèles.

L’avantage de ce type de cadran est de permettre de savoir à tout moment de la journée si l’on est dans une phase diurne ou nocturne.
 
A l’origine cette indication servait principalement aux militaires (pour éviter toute confusion entre 3h et 15h par exemple) ou à certaines personnes travaillant sans repère, comme les spéléologues au fond d’une grotte qui ne voient pas lumière du jour pendant plusieurs jours (c’est d’ailleurs pour eux que Rolex avec conçu sa fameuse Explorer II).
 
L’affichage des 24 heures s’inscrit au centre du cadran, le « 24 » se trouvant sur l’emplacement du « 12 » conventionnel. L’aiguille des heures polie à la main accomplit ainsi une ronde complète à l’intérieur du cercle représentant une journée entière. Le cadran est disponible en deux versions : argenté ou gris foncé, celui-ci étant sublimé par un décor Clou de Paris.
 
Cette montre embarque un mouvement automatique FC-332 d’une réserve de marche standard de 38 heures. Point important : depuis octobre 2018, FC offre une année de garantie supplémentaire sur toutes ses montres. Pour ce faire, il suffit de télécharger l’application « Frédérique Constant Warranty App », sur App Store ou Google Play, puis de suivre les instructions. L’enregistrement de l’achat active les deux ans de garantie avec l’extension automatique d’une année supplémentaire.
 
Ce garde-temps embarque un imposant boitier de 43 mm en acier poli étanche à 100 mètres. Attention, c’est un peu gros pour une montre de ville et cela ne conviendra pas forcément aux petits poignets. Il se porte sur un bracelet en cuir de veau façon croco.

Chez Panerai, les Luminor Sealand ont toujours été réservées à des séries limitées très confidentielles… Ce modèle, très spécial, est toujours doté d’un couvercle gravé qui vient protéger le verre de la montre. Cette référence PAM 0859 est la onzième d’une série qui a démarré en 2009.
 
Série qui vient chaque année célébrer le nouvel an chinois, qui en 2019, aura lieu le 5 février. Ainsi, après le bœuf, le tigre, le lapin, le dragon, le serpent, le cheval, la chèvre, le singe, le coq et le chien, c’est au tour du cochon de venir orner le capot de protection de cette Luminor.
 
À l’instar de tous les modèles de cette collection, la nouvelle Luminor 1950 Sealand bénéficie d’un couvercle gravé, cette année donc, à l’effigie d’un cochon en pied avec le signe chinois à 11h30 qui symbolise l’animal.

La toute dernière édition de la Dubai Watch Week a eu lieu en novembre 2017 sous un nouveau format grandement revu. Et comme les précédentes, ce fut un succès amplement mérité avec ses 6.000 visiteurs pour une trentaine de marques horlogères présentes. Un pur moment de partage horloger comme il en existe peu au monde.
 
C’est justement pour ne pas que les visiteurs et les marques ne se lassent que la famille Seddiqi, à l’origine de cette rencontre, ont souhaité passer en format bisannuel. Probablement une bonne idée. De fait, même si ce rendez-vous est probablement le plus agréable et le plus intéressant de tous les salons horlogers (avec le QP de Londres), les Seddiqi ne souhaitaient pas que les marques participantes et les visiteurs aient le sentiment de tomber dans une sorte de « routine DWW ».  
 
Les nouvelles dates de la 4ème édition de la Dubai Watch Week viennent donc de tomber : elle se tiendra donc cette année à Dubaï du 20 au 24 novembre 2019 ; la 5ème édition aura lieu quant à elle en 2021, ce qui coïncidera avec le 50ème anniversaire de la création des EAU.
 
Comme le souligne Melika Yazdjerdi, direectrice de la DWW : « à chaque nouvelle édition, on se concentre sur les thématiques les plus importantes du monde de l’horlogerie contemporain, sur ce qui a un impact direct sur l’industrie ; en 2019, il s’agira de travailler sur l’« innovation et la technologie ». C’est sur ce sujet que va se focaliser notre plateforme de marques et de spécialistes pour éclaire les visiteurs ».   
 
Comme aime à le répéter Mohammed Seddiqi : « le but de la Dubai Watch Week, c’est d’éduquer les amateurs, c’est de permettre à tous ceux qui aiment les montres d’élargir leur savoir et le champ de leurs compétences ». On a hâte de retrouver Dubaï et ses montres.

D'un diamètre de 45 mm et étanche à 300 mètres, la nouvelle Fifty Fathoms Automatique en titane possède une lunette tournante unidirectionnelle au relief cranté, dotée d'un insert inrayable en saphir bombé noir. Pour une visibilité accrue en toutes circonstances, ses repères, les index du cadran ainsi que les aiguilles sont en Superluminova.  
 
Au dos, le mouvement est visible grâce à un fond en verre saphir. Il s'agit du calibre automatique 1315 de Blancpain, qui se caractérise notamment par une réserve de marche très confortable de 5 jours, rendue possible grâce à l'utilisation de trois barillets montés en série.
 
Il possède aussi un spiral en silicium qui le protège des effets négatifs du magnétisme sans qu'il ne soit nécessaire de l'isoler derrière une cage métallique. A noter également ses finitions réalisées dans la plus pure tradition horlogère : traits étirés, anglage, perlage et cerclage…
 
Réf. 5015 -12B30-B52A / 5015-12B30-NABA

L’histoire de Longines s’inscrit dans un long processus pour maîtriser la mesure du temps. Un savoir-faire de plus de 185 ans forgé dans la tradition qui a hissé la marque dans le cénacle des grands horlogers, certes dans l’entrée de gamme, mais grands horlogers tout de même.
 
Aujourd’hui, Longines fait partie de ces marques qui respectent leur histoire et entretiennent leur patrimoine. Cette volonté s’est traduite, dès les origines de la marque, par la numérotation consécutive de ses montres. De fait, chacun de ses garde-temps possède un numéro de série qui lui est propre et qui est enregistré, tout d’abord dans des livres d’établissage jusqu’en 1969, puis sur des microfiches durant les années 1970 et 1980, avant l’avènement de l’ère informatique.
 
Toutes les montres Longines sont donc authentifiables à travers le temps et possèdent une identité individuelle. Afin de préserver ce legs historique, la marque possède une base de données unique en son genre : la Longines Electronic Archives (LEA). Celle-ci réunit toutes les archives existantes relatives à chaque numéro de série. Longines peut ainsi renseigner de façon précise et rapide tous les clients et passionnés de la marque sur chacun des 50 millions de garde-temps fabriqués à ce jour.