Par SwissIdentity le lundi 18 juin 2018
Catégorie: Presse spécialisée

Richard Mille : partenaire du 19ème Rallye des Princesses

Le second jour, l’étape intitulée « Navigation et Châteaux » a mis à rude épreuve l’acuité des co-pilotes dans le pays berrichon de Georges Sand. Avec une invitée surprise : la pluie ! Mais pas une petite bruine matinale. Des trombes. Ce qui pour ces véhicules historiques est un sujet de préoccupation : au-delà du lent passage de balais d’essuie-glace à l’efficacité contestable, les voitures ont eu maille à partir avec de véritables inondations, dont certaines ont provoqué quelques pannes. 
 
Mais grâce à la rapidité de l’assistance et la diligence de l’organisation, la plupart d’entre elles ont pu repartir et rallier la ville étape de Vichy. Le soir, au cocktail, si les traits sont tirés, la bonne humeur reste de mise, chacune ayant à cœur de raconter ses péripéties de la journée.
 
Pour les concurrentes, l’étape de la veille a été l’occasion de prendre le pouls du rallye. D’en intégrer sa cadence et ses imprévues. Dès lors, la journée suivante, visant à rallier Toulouse le long d’un parcours de 482km fût perçu comme une étape, certes décisive, mais pas insurmontable. 
 
La météo de la veille ne s’est pas révélée guerre plus clémente ce jour-là, allant de mal en pis au fur et à mesure que la ville rose s’annonçait. A telle enseigne que de véritables éboulements lors de la traversée de l’Aubrac ont contraints les organisateurs -par mesure de sécurité- à annuler certaines épreuves de régularité.
 
Pour quelques équipages, ces torrents d’eau ont transformé les autos en piscine et ont eu raison de leur mécanique. Au final, la journée qui s’annonçait drue fut dantesque. Au petit matin du 4e jour, comme pour fêter le passage du rallye en terre Espagnole, le soleil avait décidé de se montrer sous ses plus beaux atours. 
 
Pour les nombreux cabriolets engagés, c’est l’occasion de ranger les capotes et de mettre de la crème solaire. Ascension de deux cols de légende, le Soulor et l’Aubisque, passage par celui du Pourtalet, cette journée a fait la part belle à la conduite. De lacets en épingles, les princesses ont pu faire parler leurs mécaniques lors des nombreuses relances et profiter d’un paysage à couper le souffle. 
 
A l’arrivée à Formigal, avant dernière étape du rallye, les 180 princesses tiennent une forme olympique, regonflée par une journée bénie des dieux. Là aussi réside sans doute, tout le sel de l’épreuve : aucune journée ne ressemblant à celle de la veille, chacune forge dans les esprits des concurrentes, les souvenirs les plus prégnants.

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Auteur d'origine: Jean-philippe Tarot

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