Du côté des réseaux sociaux, la critique est acerbe de la part des amateurs de montres qui ne comprennent pas non plus l’utilisation de ce nom « ô » combien historique pour proposer des montres d’entrées de gamme avec des calibres mécaniques (Miyota) ou quartz allant de 500 à 1.000 euros, le tout, s’émancipant du swiss made. Une chose est sûre en tout cas, le lancement de la marque n’est pas passé inaperçu et la polémique est vive.
Au-delà de cela, le design assez minimaliste de ces montres est sympa et réussi. Rien à dire. Il évoque des modèles et des formes déjà vues précédemment chez Hermès, Pequignet, Louis Erard et bien d’autres. Deux collections sont proposées à la vente : Iconic et Custom Timepieces, cette dernière permettant de personnaliser sa montre en ligne en choisissant la taille de la boite (35 ou 41 mm), le cadran, le calibre, le bracelet, les aiguilles, etc. En tout, plus de 2.000 possibilités.
Comme indiqué précédemment, ces garde-temps ne sont pas swiss made et ne seront vendus qu’en ligne ou dans certains concept-stores, ce qui est plutôt malin ; même si les détaillants Baume et Mercier ne sont pas forcément emballés par l’arrivée de cette nouvelle marque qui va leur faire concurrence avec des niveaux de prix imbattables.